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Justice (et Droit)

Very influent personnality


Ait Larbi Mokrane:

 - Agé de 60 ans (en 2009), né à Ait Si Amara , daira de Ain El Hammam, Diplômé de l'Institut de droit, fils de chahid, il a plaidé dans bien des affaires sensibles: Affaire Khalifa, Affaire Bachir Frik....

Brillant orateur, en arabe comme en français, il a des répliques qui font mouche.

Fils de chahid (son père est tombé au champ d'honneur en 1958) , c'est en 1984 qu'il initie les premières associations d'enfants de chouhadas indépendantes de la tutelle du Fln, alors parti unique.

Il anime, entre novembre 1984 et  janvier 1985, une série de meetings populaires au cours desquels il dénonce "la falsification de l'Histoire" et cela lui vaudra une série d'arrestations entre juillet et août 1985. Il est condamné en décembre 1985 par la Cour de sûreté de l'Etat avec 22 de ses camarades.

Membre fondateur du RCD  le 10 février 1989, il en démisionne en Novembre 1991 (suite à un différend l'opposant au Sg , Said Sadi ,sur le fonctionement du parti et sur la transparence des finances)  et , membre désigné du Conseil de la Nation depuis décembre 1997,  il en démissionne le 19 maui 2001.

Peu à peu, il est devenu un acteur incontournable de la scène politique nationale. Militant de la langue amazighe et de l'autonomie de l'Islam des partis et des pouvoitrs politiques pour le préserver des manipulations, il continue à s'exprimer librement tout en exerçant toujours sa profession d'avocat au barreau d'Alger.


Bourayou Khaled :

- 54 ans en 2008, avocat. Ancien haut-fonctionnaire des ministères du Travail puis de l'Information et de la Culture, ayant travaillé dans l'Adminisdtration du Parti (unique alors) , le FLN , il est devenu, au début des années 1990, le conseiller attitré des journaux indépendants, tout particulièrement ceux à grand tirage. Il a défendu des causes au départ assez difficiles et il a plaidé des dizaines  d'affaires de diffamation, d'outrage, d'atteinte à l'image ou à la réputation des institutions et des responsables politiques  ou administratifs algériens.

Tribun hors pair, hâbleur et gouailleur, il plaide aussi bien en arabe qu'en français...et en kabyle si c'est nécessaire.

- 56 ans en 2010


Brahimi Fatiha :

- 48 ans en 2008, magistrate . Depuis le début du procès de l'ancien milliardaire Rafik Abdelmoumène Khalifa, en janvier 2007, la présidente de la cour pénale de Blida est sortie de l'anonymat.. Pendant toute la durée des audiences, Fatiha Brahimi, fille de juristes (son père était avocat et sa mère greffière), a prouvé son savoir-faire. Sa maîtrise du dossier, ses connaissances en matière de procédures, son assurance devant des ministres cités à comparaître en qualité de témoins et ses répliques "assassines" lui ont même valu les éloges de la presse. " Grâce à vous, madame la présidente, on s'est cru dans un État de droit ", lui lança aussi un avocat à l'issue du procès, en mars 2007.


Brahimi Miloud:

2010 - Membre fondateur et premier président de la Ligue algérienne des Droits de l'homme (1987), frère de Lakhdar Brahimi, le diplomate. Dans l'opposition politique à Ben Bella , il se réfugie en Tunisie puis en Suisse  après l'exécution du colonel Chabani. Il ne revient au pays qu'au début des années 1980. De toutes les ligues , celle de Brahimi a été la première à être agréée. A ses côtés, il y avait Mgr Duval, Cheikh Abbas, Mohamed Mechati (membre des 22)....

Avocat au barreau d'Alger, il plaide de nombreuses affaires ayant un grand impact médatique et politique . Membre du cCDR , il se retire le 31 mars 2000.


Felioune Mokhtar:

- Directeur général de l'Administration pénitentiaire et de la réinsertion sociale au ministère de la Justice. Il "gère" plus de 55 000 détenus dans 127 établissements de détention, 81 autres (totalisant 19 000 places) devant être réceptionnés avant fin 2009 .


INFORMATION:
- LES VIP SONT DESORMAIS INTEGRES DANS LES FICHES DOCUMENTAIRES SECTORIELLES in PERSONNALITES

Laraba Ahmed:

JUSTICE - VIP 2011 - LARABA AHMED

- Age de 63 ans, professeur de Droit à l'Université d'Alger, il est élu , dès le premier tour, jeudi 17 novembre 23011, lors d'élections tenues au sein de l'AG de l'ONU, à New York, à la Commision du Droit international, pour un mandat de cinq (5) ans, à compter du 1er janvier 2012.

Présenté pour l'un des neuf (9) sièges revenant à l'Afrique, le juriste algérien a obtenu 144 voix , le classant ainsi en 3è position sur une liste de treize candidats africains (la majorité requise étant de 96 voix)  


Vip - Ali Yahia Abdennour:

JUSTICE -  VIP -  ALI YAHIA ABDENNOUR

  Moudjahid, membre fondateur de l’Ugta, membre fondateur du Ffs qui s’oppose au régime de Ben Bella , proche du colonel Mohand Oul Hadj,  ancien ministre (Travaux publics puis Agriculture) , opposant politique, avocat depuis 1972, emprisonné plusieurs fois,  , auteur d’ouvrages, militant des Droits de l’homme (membre fondateur et premier président de la Ladh en juin 1985 qu’i l quittera par la suite pour fonder en 1989 la Laddh ) , producteur de nombreuses contributions dans la presse nationale….Eternel indigné , 92 ans, prenant la défense de l’ « opprimé » quelle que soit sa couleur politique , il  dénonce continuellement les dérives a-démocratiques du pouvoir , les atteintes aux droits de l’homme et à la liberté d’expression et de la presse. Ses (longues) contributions médiatiques sont toujours attendues, très lues et appréciées .

VIP 2013, n° 1  (www.almanach-dz.com)


Zahouane Hocine :

- 73 ans en 2008 (né en 1935 ), militant des droits de l'homme. Il rallie le mouvement nationaliste à 15 ans, avant d'entrer au FLN. Arrêté en 1955, il rejoint le maquis dès sa sortie de prison en 1957, et devient officier de la wilaya III. Membre du bureau politique du FLN à l'indépendance, il incarne, avec Mohamed Harbi et Bachir Hadj Ali, l'aile gauche du parti unique. En 1965, il condamne le coup d'État de Boumedienne et entre dans la clandestinité pour créer l'Organisation de la résistance populaire (ORP), mais il est une nouvelle fois arrêté, trois ans plus tard. Malgré son passé de militant anticolonialiste, il est assigné à résidence. Libéré en 1970, il choisit de s'exiler en France et ne revient au pays qu'en 1978, à la mort du président Boumediene. Élu en 2005 à la tête de la Ligue algérienne de défense des droits de l'homme (LADDH), il y effectue un mandat de deux ans, avant d'être " démis " de ses fonctions par des militants proches du FFS .