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Infos' diverses 2021

Date de création: 10-01-2022 18:09
Dernière mise à jour: 10-01-2022 18:09
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ENERGIE- INFOS’ DIVERSES- INFOS’ DIVERSES 2021

-Les ressources bioénergétiques nationales mobilisables peuvent être de différentes natures, notamment agricoles, urbaines et industrielles. Une étude réalisée par le Centre de recherche des Energies Renouvelables a évalué le potentiel bioénergétique à plus de 500 000 Tep», a précisé le Commissariat (début février 2021)……………………….. . «En considérant uniquement les déchets ménagers et assimilés, il est possible d’atteindre une production d’électricité supérieure à 1900 GWh grâce à la valorisation énergétique des déchets», a fait savoir le Commissariat.
Soulignant que la consommation annuelle moyenne d’électricité par habitant en Algérie est d’environ 1236 kWh, cette institution estime que «le potentiel présenté pourrait couvrir les besoins en électricité de plus d’un million et demi d’habitants».
Se basant sur les données de l’AND, le Commissariat souligne que le changement d’habitudes alimentaires se traduisait par un accroissement des déchets ménagers, notant que la quantité moyenne journalière de déchets générés par habitant a presque doublé entre 1980 et 2010, passant d’une moyenne de 0,63 kg/J/habitant en 1980 à 1 kg/J/habitant en 2010. Les grandes villes dont Alger, Oran et Sétif concentrent d’importantes quantités de déchets valorisables en énergie……………………………………………………

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«Pour les cinq plus grandes régions (ou wilayas) (Alger, Oran, Sétif, Djelfa, Batna), on comptabilise plus de 168 millions de m3 de biogaz. Les résultats sont effectués sur la base de la fraction organique des déchets et par procédé de méthanisation (digestion anaérobie, ajoute le Ceref.
(chaleur, électricité, carburant). Il existe quatre grands modes de conversion : thermique, thermochimique, chimique et biochimique.

-Le prix du gaz est bas en Algérie, selon Abdelmadjid Attar, ministre de l’Energie. Il a appelé à revoir le système de subvention.

« Le prix du gaz pratiqué en Algérie est dix fois inférieur à ceux en cours à l’étranger », a-t-il déclaré, ce jeudi 11 février 2021, lors de la séance questions-réponses à l’APN, chambre basse du Parlement, en réponse à une question sur le refus par les autorités de réduire des prix du gaz et de l’électricité en hiver pour certaines villes les plus impactées durant cette saison.

Le prix bas s’explique, selon lui, par les subventions de l’Etat.

- Les réserves nationales d’or sont estimées à 124 tonnes (Le ministre des Mines, M. Arkab, février 2021)…..128 surfaces sont exploitables à Illizi et 90 autres à Tamanrasset….et 128 autorisations d’explitation artisanale ont été accordées à des microentreprises

 

-Le ministre de l’Energie, Abdelmadjid Attar, a affirmé jeudi 18/2 à Alger que le tarif moyen de l’électricité appliqué aux citoyens était « inférieur au coût réel ». Précisant que le coût réel est de 5,4 DA/kWh, alors que le coût appliqué est de de 4,01 DA/kWh.

S’agissant du coût de production, le ministre a fait savoir qu’il variait en fonction de la station et du carburant utilisé. Le coût de production dépasse les 16 DA/kW au niveau des stations électriques, notamment dans les régions du Sud et les zones enclavées où le gasoil est utilisé pour produire l’électricité, a-t-il ajouté.

Pour ce qui est de la subvention de l’Etat aux prix de l’électricité, M. Attar a rappelé que 98% de la production était issue du gaz naturel, ajoutant que la Sonatrach propose un prix préférentiel de 10,78 DA/ unité thermique.

Concernant les carburants, le ministre de l’Energie a indiqué que « l’approvisionnement est assuré par les raffineries d’Alger, d’Oran, de Skikda et d’Arzew avec une capacité de production annuelle de 10,5 millions de tonnes, dont 2,1 millions de tonnes d’essence et 8,4 millions de tonnes de gasoil.

Le coût de production réel des carburant s’élève à 66,10 DA/L pour l’essence normal, 61,93 DA/L pour le  super, 65,4/1 lDA/L pour le sans plombe et 22,37 DA/L pour le gasoil, a-t-il précisé.

Dans ce cadre, A. Attar a souligné que les prix des carburants au niveau des stations de services sont beaucoup plus bas que les coûts de la production, et ce, grâce à la politique de subventions.

La consommation nationale des carburants a atteint l’année dernière 12,5 millions de tonnes, dont 3,3 millions de tonnes d’essence et 9,2 millions de tonnes de gasoil, a rappelé le ministre.

Relevant la hausse de la consommation durant la dernière décennie, en passant de 11,3 millions de tonnes en 2010 à 14,4 millions de tonnes en  2019, A. Attar a indiqué que « face à cette tendance haussière, l’Etat a dû se tourner vers l’importation » des carburants. Une importation qui a atteint son pic en 2013, avec 4,3 millions de tonnes pour une facture de

4,3 milliards de dollars, a rappelé M. Attar imputant cette hausse au programme de réhabilitation de la raffinerie du nord du pays.

Le coût moyen de l’essence sans plomb importée (TTC) est de 105,6 DA, a-t-il détaillé ajoutant que l’importation du gasoil est beaucoup plus coûteuse que sa production localement.

L’Algérie demeure parmi les pays enregistrant les plus bas prix de carburants, elle occupe la 9ème place au niveau mondial pour l’essence et la 5ème pour le gasoil.

-Le groupe pétrolier saoudien Aramco a annoncé dimanche un bond de 288% de son bénéfice net au deuxième trimestre 2021, soit près de quatre fois le bénéfice enregistré sur la même période l'année dernière, grâce notamment au rebond des cours du pétrole et de la demande. L'entreprise publique d'Arabie saoudite, premier exportateur de brut au monde, a annoncé dans un communiqué un bénéfice net de 25,5 milliards de dollars (environ 21,7 milliards d'euros), contre 6,6 milliards de dollars (5,6 milliards d'euros) au deuxième trimestre 2020. Pour le premier semestre 2021, le bénéfice net a quasiment doublé par rapport à 2020, à 47,2 milliards de dollars (environ 40,1 milliards d'euros).