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Infos' diverses 2014

Date de création: 31-03-2014 17:52
Dernière mise à jour: 29-12-2014 18:01
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EDUCATION - INFOS' DIVERSES - INFOS' DIVERSES 2014

- Depuis 1999, 26 000 personnes aux besoins spécifiques dont 9 600 filles ont obtenu une qualification professionnelle au niveau national

Offres de formation: 1200 en 1999, 2100 en 2013

- La France est devenue au cours de ces deux dernières années la destination favorite pour les étudiants étrangers. Les statistiques du secteur de l'éducation et de l'enseignement supérieur ainsi que les chiffres avancés par l'UNESCO (début juin 2014) confirment cette donne. L'Hexagone a accueilli en 2012, 271 399 étudiants internationaux avec une dominance maghrébine. Les étudiants algériens sont la troisième communauté étrangère inscrite dans les établissements de l'enseignement français, avec 22 697 étudiants, après les Marocains et Chinois (32 104 étudiants pour les premiers et 30 349 pour les seconds).

Les étudiants tunisiens sont eux au nombre de 11 909.

L'ambassadeur de France en Algérie, André Parant, a affirmé récemment que près de 17 000 étudiants algériens déposent leur candidature, chaque année, pour poursuivre leurs études en France. Et d'ajouter que 90% des étudiants algériens choisissent les universités françaises pour poursuivre leurs études. Ils étaient plus de 22 600 étudiants en 2013, avait-il indiqué.

Mme Geneviève Fioraso, ministre Française de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, avait affirmé lors de sa dernière visite en janvier dernier au Cerist à Alger qu'actuellement, 24 000 étudiants algériens poursuivent leurs études en France. Elle avait affirmé que les étudiants algériens sont inscrits essentiellement dans les sciences dites dures telles que les mathématiques, la physique et l'informatique et dans les filières médicales. Elle a même évoqué la possibilité de développer des formations sur place.

La ministre française avait expliqué cette motivation et cette affluence algérienne sur les établissements français par les facilitations accordées en matière de procédure pour l'obtention des visas pour les étudiants, engagés depuis juillet 2013, avec une série de réformes garantissant plus de confort à la vie des étudiants étrangers. Pour rappel, les autorités françaises octroient actuellement des visas pluriannuels pour les étudiants de master et doctorant, une façon de leur éviter chaque année le parcours du combattant. A noter en outre qu'un guichet unique a été mis en place pour toutes les démarches d'inscription, d'hébergement et autres services. A noter également que si les étudiants algériens plébiscitent la France, c'est parce qu'ils sont des « francophones » et aussi pour la qualité de la formation.

La France investit 20 milliards d'euros par an dans l'enseignement supérieur et la recherche, soit 800 euros par étudiant, quelle que soit sa nationalité.

-Inscriptions universitaires : du 6 juillet au 7 août                                                                        -Reprise des écoles , 2014-2015: 7 septembre                                                                                         - L'Université de Annaba compte 7 facultés  

-  La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit a indiqué jeudi 2 octobre 2014, à Alger que la déperdition scolaire, durant l'année scolaire 2013-2014, avait touché 1,67% de garçons au cycle primaire et 11,86% au cycle moyen contre 1,43 % chez les filles au primaire et 7,22% au moyen.

Le secteur de l'Education nationale avait enregistré un taux de déperdition scolaire de 2,77% chez les garçons au cycle primaire et de 15,44% au cycle moyen.

Le taux de scolarisation des garçons est actuellement de 98,92% contre 98,04% pour les filles scolarisées, a souligné la ministre, affirmant qu'"en dépit des progrès enregistrés en matière de scolarisation des filles, nous n'avons pas réussi, jusqu'a présent, à atteindre un taux de 100% de scolarisation des filles âgées de 6 ans dans certaines régions isolées, pour des raisons sociales, culturelles ou économiques".

Il faut traiter les chiffres sur les écarts entre les deux sexes dans le domaine de l'enseignement de manière relative, car les filles "ne sont pas plus nombreuses que les garçons dans les cycles obligatoires mais elles sont moins touchées par la déperdition scolaire, a-t-elle dit.

"Le plus juste est de dire que l'avancement des filles dans leur scolarité fait la différence au niveau du cycle secondaire, non pas que leur nombre soit supérieur à celui des garçons, mais la principale raison demeure la déperdition scolaire qui touche les garçons aux cycles primaire et moyen", a estimé Mme Benghebrit.

La ministre a expliqué à cette occasion les raisons qui font que les garçons fuient l'école et les filles réussissent aux examens officiels citant à titre d'exemple la discipline dont font preuve les filles qui assistent beaucoup plus que les garçons aux cours.

La première responsable du secteur de l'éducation a estimé que la réussite "constitue pour les filles le seul moyen de s'affirmer au plan social" soulignant que ces dernières passent beaucoup plus de temps à la maison et sont par conséquent plus disponibles pour apprendre les leçons et faire leurs devoirs.

Aussi, le secteur de l'Education médite sur les solutions qui sont à même d'inciter les garçons à prendre leurs études au sérieux, a-t-elle dit, soulignant la nécessité d'accorder une plus grande importance à la formation des enseignants et des inspecteurs notamment dans le cycle obligatoire.

Mme Benghebrit a affirmé dans ce cadre que le secteur de l'Education mettra également l'accent sur la recherche scientifique à travers la révision des statuts de l'Institut national de recherches en Education, du mode d'évaluation des élèves, de la nature des examens nationaux et du système d'orientation en revalorisant le travail des conseillers à l'orientation.

La ministre a enfin appelé les parents d'élèves à "être plus attentifs et plus à l'écoute de leurs enfants en particulier durant la période d'adolescence et à s'organiser en comités pour réfléchir aux possibilités de création d'espaces où leurs enfants peuvent se rencontrer et étudier".

-L'UFC délivre, chaque année , à travers ses 53 centres de formation quelque 8 500 diplômes                                                                                                                                                              - 5000 enfants étarngers sont scolarisés en Algérie (2014-2015)