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Andi 2013

Date de création: 06-08-2013 12:10
Dernière mise à jour: 03-04-2014 15:53
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ECONOMIE – INVESTISSEMENT – ANDI 2013

Le Conseil national de l’investissement (CNI) a examiné durant le 1er semestre de l’année en cours 90 projets d’investissement pour un montant de 511,3 milliards de DA (6,3 MDS dollars), indique un bilan de l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI) présenté lundi  5 août 2013, à Alger.

Depuis janvier 2013, le CNI donne son accord pour tout investissement qui dépasse 1,5 milliard de DA, contre un seuil de 500 millions de DA auparavant, selon une disposition de la loi de finances 2013.

Le nombre de projets est en hausse de 53,7% en comparaison avec la même période de l’année 2012 durant laquelle il a atteint 58 projets pour un montant de 332,4 milliards de DA, selon ce document présenté lors d’un atelier sur l’état et l’accompagnement de l’investissement privé en Algérie présidé par le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’Investissement Cherif Rahmani.

Concernant les retombées de ces projets, ils devraient générer 14.260 postes d’emplois, contre 13.561 postes durant le 1er semestre de 2012, soit une évolution de 5,15%, selon le directeur général de l’ANDI, Abdelkrim Mansouri.

La majorité de ces projets sont en phase de création des entreprises et de réalisation des études de faisabilité. Sur les 90 projets, le premier semestre de l’année 2013 a enregistré 24 investissements directs étrangers (IDE) pour un montant de 225,9 milliards de DA (2,8 milliards de dollars) contre 8 projets similaires sur la même période de 2012 (+200% en termes de nombre de projets).

Le secteur de l’industrie a pris la part la plus importante des projets d’investissement avec 57 projets, pour un montant de 280,7 milliards de DA représentant un taux de 54,9% du montant global des ces projets d’investissement avec l’ambition de créer 7.796 postes d’emploi.

Pour sa part, le secteur du tourisme totalise 23 projets pour un montant de 99,4 milliards de DA, soit 19,45% du montant global avec une perspective de création de 4.085 emplois.

Sur le nombre total des projets examinés par le CNI, ceux initiés par les nationaux totalisent 66 représentant un taux de 73% du nombre total des projets pour un montant 285,4 milliards de DA.

S’agissant de la répartition des projets du secteur de l’industrie, le textile se classe en première position avec 17 projets, suivi par les matériaux de construction (13 projets), la sidérurgie/métallurgie (8), la chimie/plastique (6), l’électronique (5), l’agroalimentaire (4), le bois/papier (3) et la mécanique (1).

Il a, dans ce sens, évoqué le nouveau rôle assigné à l’ANDI pour soutenir l’investissement en Algérie à travers plusieurs actions parmi lesquelles la dynamisation du Guichet unique décentralisé (GUD) et l’organisation de réunions périodiques avec les porteurs de projets pour évaluer l’avancement de leurs investissements.

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Les investissements déclarés en Algérie ont plus que  doublé durant le premier semestre 2013 pour atteindre 856,7 milliards de DA (11,2 milliards de dollars) contre 411,6 milliards de DA à la même période en  2012, en hausse de 108%, a annoncé, lundi 7 octobre 2013,  l'ANDI, qui explique cette performance, notamment par "la nette amélioration" du climat des affaires en Algérie.
 Le nombre de projets d'investissement déclarés durant ce semestre a  enregistré une hausse de 14%, soit 4.756 projets contre 4.183 projets à la même période de 2012, selon un bilan de l'Agence nationale de développement de l'investissement (ANDI) obtenu par l'APS. Les nouveaux projets déclarés prévoient la création de 75.075 emplois, contre 45.503 emplois à la même période de référence, soit une augmentation de 65%, note encore l'ANDI.  
Cette "sensible" amélioration des investissements, s'explique notamment par une amélioration du climat des affaires suite au différentes mesures d'incitations et d'encouragement à l'investissement et aux porteurs de projets prises par  les pouvoirs publics, notamment, dans les régions des Haut plateaux et du Sud .Les mesures de débureaucratisation de l'acte d'investissement prises  par le Premier ministre, la redynamisation du rôle de CALPIREF, le plan de  développement des entreprises publiques ainsi que les rencontres de vulgarisation  organisées dans une trentaine de wilayas ont aussi contribué à cette performance                      

Les investissements locaux qui représentent 90% de l'investissement  global, s'élèvent à 4.725 projets au 1er semestre 2013 (+13%) pour une valeur  de 628,25 milliards de DA (+67%) et devraient générer 67.690 emplois (+58%).
Le montant des investissements déclarés en partenariat (avec des étrangers)  durant les six premiers mois de 2013 a atteint 228,46 milliards de DA (plus  de 3 milliards de dollars), contre 35,8 milliards de DA à la même période de l'année dernière, soit une très forte hausse de 538%.
Les projets d'investissement en partenariat déclarés durant cette période  de comparaison ont également augmenté de 244% passant de 9 à 31 projets, devant générer 7.385 emplois (+190%).
En terme de nombre de projets, l'ANDI relève une prédominance du secteur du Transport qui enregistre 2.264 projets, suivi du BTPH (924 projets), l'Industrie (825), les Services (547), l'Agriculture (85), et le Tourisme (68) et enfin  la Santé avec 43 projets.


S'agissant des montants à investir, c'est le secteur de l'Industrie qui domine avec 436,45 milliards de DA, soit 50,95% du montant global, suivi par les services (158,94 milliards DA), le tourisme (110,22 milliards DA), le BTPH  (82,06 milliards DA), le transport (48,23 milliards DA), l'agriculture (12,57  milliards DA) et la santé avec 8,20 milliards de DA. En terme d'emplois, l'industrie reste le secteur le plus pourvoyeur avec  30.192 emplois, soit plus de 40% des postes d'emplois créés, suivi par le BTPH  (19.219 emplois), les services (9.222), le transport (8.594), le tourisme (5.621) et l'agriculture (1.281) et enfin la santé avec 875 emplois.
 Par région, c'est le Nord qui polarise le plus d'investissements avec 3.167 projets totalisant 624,27 milliards de DA devraient générer 50.168 emplois,  suivi les hauts plateaux qui ont attiré 902 projets pour une valeur de 102,25  milliards DA et 14.679 emplois. La région Sud, quant à elle, a enregistré 689 projets totalisant 130,41 milliards de DA et devant aider à la création de 10.228 emplois.
Il est à rappeler que le nouveau dispositif d'investissement octroie  en plus des avantages fiscaux et parafiscaux tels que l'exonération de l'IBS  et de la TAP pour une durée de 10 ans, d'autres avantages touchant le foncier  économique notamment la concession au dinar symbolique et des réductions importantes de la redevance locative.
A cet effet, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a instruit ,en juin 2013 ,les walis lors d'une rencontre à Alger en vue d'accorder une attention particulière aux dossiers d'investissements examinés par les CALPIREF (Comités  d'assistance pour la localisation, la promotion de l'investissement et la régulation du foncier), présidés par les walis.
 Il a, ainsi, insisté sur un réel accompagnement de l'administration des  dossiers d'investissement et d'œuvre à faciliter la mise en œuvre des projets tout en levant les obstacles à travers l'allégement des procédures et la réduction  du temps de traitement des dossiers.

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 2013

Le montant des investissements directs étrangers (IDE) enregistré par l’Algérie au cours du premier semestre 2013, a atteint 2,280 milliards d’euros, soit cinq fois plus que pour l’ensemble de l’année 2012.

Au total, 31 projets ont été inscrits durant les six premiers mois de 2013 contre 17 en 2012. Ces projets ont permis la création de 7.385 emplois, selon  le délégué général du réseau Anima (Associations des agences d’investissement de la Méditerranée), Emmanuel Noutary. Selon les prévisions de l’ANDI, les IDE atteindront 3 milliards d’euros en 2013, soit le même niveau attendu en 2014 en raison notamment de la mise en œuvre effective de «l’ambition industrielle, du lancement en 2014 des programmes de développement des entreprises publiques en partenariat avec les entreprises  étrangères dans diverses secteurs industriels, et de la poursuite du processus de facilitation et de simplification de l’acte d’investir, notamment par des mesures d’encouragement prévues dans la loi de Finances pour 2014»
«L’Algérie reçoit de plus en plus de projets d’investissements très conséquents par leur taille et leurs montants», a encore ajouté le DG de l’ANDI,  soulignant que ces résultats sont le reflet des conditions d’attractivité réunies par l’Algérie, notamment la stabilité politique et institutionnelle, la stabilité et la solidité du cadre macro économique, le renforcement des infrastructures de base ainsi que les aides publiques conséquentes accordées par le gouvernement  comme le financement, les exonérations fiscales et douanières.
La répartition des flux d’investissements étrangers par pays montre que le Qatar est en tête des investisseurs étrangers en Algérie avec 74,31 % et un montant de 1,69 milliards d’euros en 2013, détrônant la France arrivée en tête en 2012, avec 77,28 % et 321 millions d’euros, selon les chiffres de l’ANDI.      Par régions les pays arabes représentent la majorité des IDE en 2013, soit 78,45 %, contre seulement 11,12 % pour l’Europe alors que cette dernière était en tête des investissements directs en Algérie en 2012 (85,36 %). L’Asie dont les IDE étaient nuls en 2012 (0 %) représente en 2013, 9,70 %, ajoute cette source. Par secteur d’activité, l’industrie arrive largement en tête des IDE  durant le premier semestre 2013 (94,54%), suivie du tourisme (3,28 %) et des services (1,39 %).

Les investisseurs arabes en force en 2013
Entre 2003 et 2013, quelque 100.000 emplois ont été créés en Algérie grâce aux IDE, «ce qui a contribué sensiblement à la baisse de la facture d’importations, notamment dans le domaine des médicaments»,
De son côté, M. Emmanuel Noutary a expliqué que les données recueillies par son institution indiquent que les IDE en Algérie ont été de 4,5 mds d’euros  en 2012 alors que l’ANDI annonce 2,2 mds.  Il justifie cet écart par des différences entre les méthodes de statistiques étant donné qu’Anima se base sur les déclarations de volonté d’investissement des chefs d’entreprises alors que l’Algérie prend en compte les intentions d’investissement validées par le gouvernement.
M. Noutary estime que l’Algérie aurait pu attirer davantage d’investisseurs sans l’adoption de la règle 49/51 en 2009 et qui «a été reçue de manière dramatique par le patronat européen» avant que ces derniers ne «s’adaptent» à la nouvelle législation et amorcent leur retour en 2012. Toutefois, l’Algérie ne parvient pas encore à accueillir autant de projets que les autres pays méditerranéens comme la Turquie qui accapare un tiers des IDE dans la région, a-t-il ajouté.
Le délégué général d’Anima constate aussi que l’Algérie, à l’instar des autres pays de la région, n’est plus une destination dans laquelle prédomine les investissements européens qui ont marqué un ralentissement suite à la crise financière de 2008. Ils ne représentent plus que 45 % des IDE en région méditerranéenne en 2012 pour être suivis par les investissements d’Amérique du Nord avec  23 % et du Golfe avec 12 % puis par la Chine et les pays émergents. Ce constat est confirmé par les données de l’ANDI selon lesquelles les investissements qataris ont prédominé en Algérie en 2012. Toujours selon l’ANDI, l’Europe qui était en première position en 2012 avec 85 % des investissements, a été supplantée en 2013 par les pays arabes avec un taux de 78%.
A propos du classement de l’Algérie par le rapport Doing business et ses éventuelles répercussions sur l’attractivité du pays, M. Noutary a dit que «les investisseurs ne regardent pas beaucoup» ce genre de documents dont les indications «peuvent être déformées et subjectives». Néanmoins, il précise qu’«il est important de disposer d’un bon classement qui peut être amélioré sans nouveaux règlements mais grâce à un dialogue et une capacité d’expliquer» les conditions d’accueil des IDE dans le pays.
D’ailleurs, Anima a adopté un nouveau mécanisme dénommé Edile afin d’aider  à l’orientation des investissements vers les besoins réels des pays sans focaliser sur les montants des projets mais en mettant plutôt l’accent sur d’autres aspects comme la création de l’emploi.

ANDI 2013

Les investissements déclarés en 2013 auprès de l'Agence nationale de développement de l'investissement (ANDI) ont atteint 1.716 milliards DA (plus de 22,5 milliards de dollars), contre 816 milliards DA en 2012, en hausse de 110 % (Source : Andi)

Les investissements déclarés en 2013 ont connu des hausses  «sensibles» en termes de valeur, de projets et d'emplois créés, comparativement  à 2012, selon l'ANDI. Le nombre de projets est passé de 7.715 à 8.895, en hausse de 15%, a souligné l'ANDI qui table sur la création de 149.000 nouveaux postes d'emploi, en augmentation de 63 %. S'agissant des projets d'investissement déclarés en partenariat avec des étrangers, leur nombre a presque quadruplé passant de 17 à 65 projets en  2013, en hausse de 282 % par rapport à 2012 pour un montant de 331,8 mds DA (4,5 mds de dollars) et devraient créer 17.082 nouveaux postes de travail. Cette «importante» reprise des investissements est due à la stabilité de la législation, ainsi qu'aux mesures prises par le gouvernement pour encourager les investissements, notamment les aides et les facilitations introduites à travers les lois de finances, décrets exécutifs et divers arrêtés interministériels et ministériels.

2013, qui a vu la mise en œuvre de plusieurs dispositions visant le développement et la facilitation de l'acte d'investir, a été l'année «du retour  de la confiance des investisseurs nationaux et étrangers». Ces dispositions ont essentiellement pour objectif  de booster l'investissement, de créer de l'emploi, de réduire la facture des importations et enfin assurer un développement harmonieux des territoires. Partant de ce constat, l'année 2014 s'annonce «prometteuse» en matière d'investissement, compte tenu des nouvelles mesures de facilitations et d'encouragement supplémentaires décidées au titre de la loi de finances 2014. «La volonté des pouvoirs publics de relancer l'industrie nationale à travers notamment la définition des filières industrielles stratégiques, la relance des plans de développement des entreprises publiques industrielles, ainsi que la création du comité doing business avec la participation active de la communauté des hommes d'affaires, a également contribué à l'augmentation des projets d'investissement ». D'autres mesures ont fait de 2013, l'année record en matière d'investissement. On cite la mise en place d'espace de concertation et de dialogue entre les différents acteurs de la sphère économique et organes de facilitation et de soutien aux entreprises au niveau des wilayas, ainsi que le lancement de plusieurs actions de promotion de l'investissement dans les divers secteurs productifs à travers des séminaires d'information à l'intérieur du pays et à l'étranger et le lancement des appels à projets.


Le bilan de l'ANDI a relevé une prédominance du secteur privé avec 96 % en termes de nombre de projets et 48 % en valeur contre seulement 3 % en nombre de projets et 36 % en termes de montants pour le secteur public. Les données de l'agence montrent une concentration des projets d'investissements  au nord du pays avec plus de 67% de l'ensemble des projets déclarés. Par secteur d'activité des projets déclarés, les projets industriels arrivent en tête, suivis de ceux du secteur du BTPH avec consécutivement 63 % et 11 % du volume des investissements déclarés en 2013.           
Selon l'ANDI, 26 pays étrangers ont déclaré des projets d'investissement en Algérie durant 2013 contre seulement 8 en 2012. Ces projets de partenariat sont concentrés dans les filières industrielles, notamment les industries sidérurgiques, métalliques, mécaniques, électriques et électroniques avec 31% en termes de nombres de projets, 82% en termes financiers et plus de 50% en termes d'emplois.

 INVESTISSEMENTS DIRECTS ETRANGERS – ANDI 2013

Les investissements directs étrangers (IDE) ont connu "une progression remarquable" en 2013, a affirmé, mardi 1 avril 2014, à Alger, le directeur général de l'Agence nationale de l'investissement (ANDI), Abdelkrim Mansouri.

Intervenant sur les ondes de la Radio nationale, M. Mansouri a indiqué que près de 65 dossiers d'investissements directs étrangers ont été déclarés en 2013 auprès de l'ANDI contre 17 dossiers seulement en 2012.

Commentant cette évolution, le directeur général de l'ANDI a expliqué que le "fort flux d'IDE est une reconnaissance implicite de la part des investisseurs étrangers que l'Algérie est désormais le pays le plus attractif de la région".

L'attrait de l'économie nationale pour les investisseurs étrangers est soutenu, selon M. Mansouri, par "plusieurs facteurs déterminants". Il a ainsi évoqué la solidité du cadre macro-économique, la stabilité du cadre législatif, les mesures d'aide et de facilitations et des disponibilités de financements importantes.

Insistant sur la stabilité du cadre réglementaire régissant l'acte d'investir, le premier responsable de l'ANDI a rappelé que ce dernier permet à l'investisseur d'avoir une lisibilité pour investir en toute sécurité et confiance. "Les modifications et aménagement apportés au cadre réglementaire ces dernières années ont toujours été en faveur de l'entreprise et de l'investisseur" a-t-il soutenu.

Concernant les nouvelles mesures de facilitation, M. Mansouri a évoqué la disposition de la loi de finances pour 2014 prévoyant que les projets inférieurs à 1,5 milliard de dinars ne soient plus soumis au visa du Conseil national des investissements (CNI).

Au titre des mesures en faveur des investisseurs, le directeur général de l'ANDI a cité, également, la généralisation du guichet unique au niveau local à travers tout le territoire national, la faculté offerte à l'investisseur de faire sa déclaration on-line sur le net, la création de 49 nouvelles zones industrielles, et les exonérations fiscales et parafiscales pour les régions des Hauts plateaux.

S'agissant de  la règle dite 51/49%, M. Mansouri a confirmé que sa mise en œuvre ne constituait pas un frein pour l'accueil des investissements étrangers. "Tous les grands projets d'investissement structurants ont été conclus dans ce cadre", a-t-il ainsi souligné.

Evoquant les filières ciblées par les IDE,  il a indiqué que l'industrie se taille la part du lion. "60 % des projets déclarés sont industriels", a-t-il précisé, ajoutant que les investissements concernent en priorité la mécanique (Allemagne, Emirats), les matériaux de construction (Chine) la sidérurgie (Qatar et Turquie) et les médicaments.

S'agissant de l'impact des IDE sur la création d'emploi, il a indiqué que les projets en partenariat, déclarés en 2013, devraient permettre à moyen terme la création de près de 149.000 emplois.