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Travailleurs étrangers

Date de création: 14-07-2008 21:25
Dernière mise à jour: 20-03-2010 05:51
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Selon le ministre de l’Emploi et de la Solidarité nationale (28 mai 2006), il y avait 543 travailleurs étrangers immatriculés en 1999. Ils sont, début 2006, au nombre de 18 191.

Les Chinois représentent la communauté étrangère la plus importante avec 45% du chiffre global, suivis des Egyptiens avec 11% . Viennent ensuite les Italiens, les Philippins, les Américains et les Français avec quelque 3% par nationalité . 105 nationalités sont représentées.

65%  de cette main-d’œuvre sont concentrés à Alger, ainsi qu’à  Ouargla, Oran et Adrar, alors qu’Illizi, Skikda, Boumerdès et Mila en accueillent 15%, les 20% restants étant répartis à travers 35 wilayas.

Le plus gros de l’effectif travaille dans les secteurs de l’habitat et des hydrocarbures.

Notes : - Le secteur est régi par la loi n° 81.10 du 11 juillet 1981, relative aux conditions d’emploi des travailleurs étrangers et le décret présidentiel n°03.251 du 11 juillet 2003, instituant le visa de travail. Ils s’inspirent largemment des recommandations de l’Oit, visant à la protection des travailleurs étrangers, en leur permettant de bénéficier des mêmes droits et d’être soumis aux  mêmes obligations que la main-d’œuvre nationale.

-Lors d’une intervention au Forum d’El Moudjahid (lundi 2 juillet 2007),le représentant du ministère du Travail, BachirBenbouzid, a avancé le chiffre de 32 000 travailleurs étrangers présents en Algérie. Le chiffre a donc été multiplié par 58 en l’espace de huit- neuf ans.

Les Chinois représentent 45% du nombre global, les Egyptiens 11%, les Italiens 3,5%, les Américains, les Phillippins et les Français  3%, les Canadiens 2%. 105 nationalités sont représentées. Ces immigrés économiques, principalement d’origine chinoise,  sont présents dans les secteurs du Btph(bâtiment), des hydrocarbures et de l’industrie. 51% d’entre-eux travaillent dans le bâtiment et 45% dans l’industrie. Le secteur des services, quant à lui, emploie 3,6% et l’agriculture 0,2%.

La main d’œuvre est beaucoup plus concentrée dans quatre wilayas(67%) : Alger, Oran,Adrar et Ouargla.

Elle est, en majorité, d’un haut niveau de qualification : 23% de cadres supérieurs, 21,7% des cadres et des techniciens supérieurs, 27,5% des techniciens, 25,05% des ouvriers qualifiés  et seulement 0,75% sont sans aucune qualification.

A signaler que d’autres estimations avancent le chiffre d’au moins  100 000 travailleurs étrangers en Algérie, des Chinois en majorité. Une bonne partie d’entre-eux travaillent « au noir ». Et, selon une étude  réalisée par Algeria international consult (Aic), 40% des immigrés clandestins viennent avec l’intention de s’installer définitivement en Algérie, 40% utilisent le pays comme transit et 20% ne savent pas précisemment quoi faire.Toujours selon Aic, il y aurait entre 30 000 à 40 000 cadres algéries de haute qualification éparpillés dans le monde.

 

 

 

- L’Algérie compte en 2007,quelque 32 000 travailleurs étrangers en situation régulière (c’est-à-dire inscrits à l’ANEM).

Le nombre est passé de 543 en 1999 à 30 000 en 2006. Il y avait 1 107 travailleurs étrangers en 2001, 5 190 en 2002 et 10 564 en 2003. Leur nombre a baissé à 6 963 en 2004 pour remonter à 18 194 en 2005. Ils sont issus de 105 nationalités dont 45% (en 2005) étaient des travailleurs chinois (43 000 en 2007). Il y a , aussi, des Egyptiens (6 000 en 2006), des Turcs,des Philippins, des Américains, des Français, des Syriens et des Canadiens.

Par ailleurs, il y aurait quelque 7 000 immigrés cladestins qui entrent annuellement en Algérie.

Sur un autre registre, il y a les commerçants étrangers en Algérie (5 069, répartis en 1 284 personnes physiques et 3 787 personnes morales, dont 82 succursales)

- En 2009, environ 45 000 étrangers travailent "légalement" en Algérie contre seulement 543 en 1999. Ils représentent 105 nationalités. Les travailleurs chinois viennnent en tête avec 45% des effectifs et ,selon l'ambassade de Chine en Algérie, il y a 30 000 Chinois exerçant dans diverses activités et dont la plupart ont accompagné leurs entreprises installés en territoire algérien. En seconde position viennent les Egyptiens (11%), puis les Italiens (3,5%), les Philippins, les Américains, les Français, les Canadiens avec près de 3% pour chacun de ces groupes.Par secteurs d'activité, la répartition montre que 51%  de la main-d'oeuvre étrangère ont investi le BTPH, 41,2% l'industrie, particulièrement les hydrocarbures, 3,6% le secteur des services et 0,2% l'agriculture. S'agisant des qualifications, il ressort que 23% sont des cadres spérieurs. Pour ce qui est de la répartition géographique, la main d'euvre a élu domicile à 67% à Alger, Ouargla, Oran et Adrar,ceci alors que 15% des effectifs sont répartis sur les xwilayas d'Illizi, Skikda, Boumerdès et Mila.