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Economie

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  • 28-05-2020
    -Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad plaide, cejeudi, pour l’allègement de la dette des pays en voie de développement afin de surmonter les difficultés financières et économiques induites par la pandémie COVID-19 ainsi que pour un dialogue global entre les pays développés et en voie de développement en vue de trouver des solutions concrètes aux besoins croissants au double plan économique et social. Intervenant en tant que représentant le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, à la rencontre de haut niveau par visioconférence, organisée par l’Organisation des Nations Unies (ONU), sur le financement du développement sur fond de la pandémie COVID-19, A. Djerad a déclaré que l’allègement du fardeau de la dette des pays en voie de développement s’impose en tant qu’"option impérative" pour remédier aux déséquilibres dont ils souffrent au double plan économique et social. A ce propos, il a appelé à "la consécration d’un dialogue global et durable entre les pays développés et ceux en voie de développement pour trouver des solutions concrètes aux besoins de financement croissants en raison de la crise du nouveau Coronavirus". Soulignant que la persistance de cette crise sanitaire "est à même d’accentuer la crise financière que connaissent toutes les nations", A.Djerad a indiqué que les niveaux de propagation de cette pandémie en Afrique ne sont pas inquiétants pour l’heure, contrairement à ses répercussions aux plans économique, social et financier. Outre, les enjeux de la sécurité alimentaire, le continent africain est confronté aux défis traditionnels en rapport avec les crises politique et humanitaire, les effets des changements climatiques, la désertification et la sécheresse, la chute des prix des matières premières, le fardeau de la dette et la baisse des flux financiers. "L'allégement de la dette des pays en développement s'impose en tant qu’option impérative face aux déséquilibres auxquels ils sont confrontés aux plans fiscal et budgétaire, en vue d’améliorer les recettes fiscales et aider ainsi ces pays à surmonter les effets néfastes de cette pandémie aux plans sanitaire et socioéconomique", a-t-il soutenu.
  • 11-05-2020
    -Le Conseil national économique et social (CNES) a signé lundi à Alger avec le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) un protocole d'accord dans l'objectif de renforcer ses capacités dans le domaine de développement humain durable et de la durabilité économique. Paraphé par le président du CNES, Rédha Tir et la représentante résidente du PNUD en Algérie, Blerta Aliko, ce document fixe le cadre de coopération entre les deux parties à travers un plan d'action axé sur cinq (5) domaines d'interventions. Il s'agit de la maîtrise des outils et instruments de mesure du développement humain durable, du renforcement des capacités dans le domaine de la lecture politique et l'ancrage des instruments dans les politiques publiques dédiées au développement humain durable, de l'élaboration du Rapport national du développement humain, des outils et instruments de médiation et de résolution de conflits sociaux ainsi que les écosystème sectoriel et régional de l'entreprenariat.
  • 05-05-2020
    -Selon le médecin et chercheur algéro-américain, Elias Zerhouni , qui s’est exprimé ce mardi via une téléconférence organisée par le Conseil national économique et social (CNES), le terrible coronavirus, sera encore là en 2021 ! « Il n’y a pas aujourd’hui de vaccin ou de contre-mesure efficace et il est très peu probable qu’il y ait un vaccin dans l’année qui vient. Il faut donc compter au moins une année à une année et demi de réponses qui ne peuvent pas arrêter la pandémie directement», a expliqué le Pr Zerhouni cité par l’agence APS. Pis, le célèbre chercheur prévient que l’impact économique ne va pas s’arrêter «du jour au lendemain» compte tenu de la nécessité de maintenir, d’après lui, les mesures de prévention face à l’absence d’un vaccin efficace contre le virus. Et à ceux qui s’attendent à la mort «naturelle» du COVID-19 sous l’effet des chaleurs de l’été, Elyas Zerhouni douche les espoirs : « On n’est pas sûr de l’impact de l’été, mais nous pensons qu’il va y avoir une régression pendant cette saison», a simplement supposé l’éminent chercheur qui évoque trois scénarios sur lesquels travaille la communauté scientifique. Un scénario en « V » soit une chute brutale et une reprise brutale, un scénario en « U » avec une chute brutale et une reprise progressive, à partir de début 2021, en un cycle, et enfin un scénario en « W » qui prévoit une chute brutale et une reprise grâce à l’effet de l’été mais une rechute en octobre/novembre puis une reprise sur toute l’année 2021. L’autre mauvaise nouvelle annoncée par Elyas Zerhouni concerne la reprise économique «qui ne sera pas rapide» Pour ce faire il recommande «d’ajuster» les stratégies économiques et sociales en fonction de ces évolutions selon le contexte national