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Culture (et Religion)

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  • 11-05-2024
    -L'artiste suisse Nemo a remporté la 68e édition du concours de l'Eurovision, qui se tenait samedi 11 mai à Malmö, en Suède. Le concurrent français, Slimane, a réussi une belle performance, avec sa chanson Mon amour. Deuxième à l'issue du vote du jury, il n'a pas su séduire suffisamment le public dans un vote très polarisé pour conserver une place sur le podium. Au classement final, la Suisse devance la Croatie et le chouchou du public Baby Lasagna, ainsi que l'Ukraine (3e) et Israël (5e) qui ont toutes deux bénéficié d'un fort soutien populaire.
  • 07-05-2024
    -Le court-métrage "Coup de pouce", du réalisateur algérien Abdelkader Guidoum a décroché l’Epi d’Or (1er prix) des 5è Journées internationales du cinéma de Sétif, clôturées mardi soir en présence des autorités locales et de personnalités du cinéma, algériennes et étrangères. Ce court-métrage de 25 minutes relate l’histoire d’un architecte rêveur, Zeddam, qui se retrouve devant un dilemme : sacrifier son emploi et devenir chômeur, ou abandonner l’esprit puéril qui le caractérise pour plaire à son directeur. Le réalisateur, Abdelkader Guidoum, a fait part, après avoir reçu son Epi d’Or en compagnie de l’acteur Mohamed Bendaoud, de "l’immense joie" que lui procure ce couronnement, avant de saluer l’initiative d’organiser ces journées du cinéma dans la capitale des Hauts plateaux. Les courts-métrages "Palestine 87" et "32", réalisés, respectivement, par Bilal Al-Khatib (Palestine) et Aya Aouni (Tunisie), se sont vus décerner l’Epi d’Argent et l’Epi de bronze à l’issue de cette manifestation organisée dans le cadre du 79 anniversaire des Massacres du 8-Mai 1945, en présence d’artistes et de réalisateurs de 10 pays : Algérie, Tunisie, Palestine, Egypte, Liban, Syrie, Chypre, Sultanat d’Oman, République arabe sahraouie démocratique (RASD) et Iran. Le prix spécial du jury est revenu au film "Laâlam" du réalisateur algérien Ahmed Aggoun qui raconte l’histoire de deux enfants qui rejoignent la Révolution après avoir été exclus de l’école. Lors d’une conférence de presse tenue avant le début de la cérémonie de clôture, le président du jury, le réalisateur algérien de cinéma et de télévision Djaffar Kacem, a affirmé que le choix des courts-métrages récompensés a été "difficile", tout en soulignant que la participation arabe et étrangère à cette compétition accompagnant les journées internationales du cinéma, est "édifiante quant à l’importance que commence à prendre cet événement qui a permis à des cinéastes de faire montre de leur talent et de leurs capacités avec des budgets limités". 1. Kacem a également fait savoir que les 5 critères ayant présidé au choix des lauréats avaient trait à l’écriture, au jeu d’acteurs, aux techniques de l’image et du son, au décor et à la réalisation. La cérémonie de clôture de cet événement culturel et artistique, organisé sous le slogan "Un film pour demain", a été marquée par une affluence record d’amoureux du septième art, dont des jeunes et des familles qui ont copieusement garni la salle du dôme, au Park Mall de Sétif. De nombreux cinéastes et de stars participant à ces journées ont été honorés, ainsi que le jury, dont son président, Djaffar Kacem, en plus du réalisateur Mohamed Ali Darwish (Sultanat d’Oman), de l’artiste Kaouther El Bardi (Tunisie) et des artistes algériens Mohamed Reghis, Mourad Saouli et Salim Kharchi, entre autres. Une vidéo mettant en lumière des artistes ayant participé à cette manifestation culturelle et artistique, a également été projetée, dans les laquelle des vœux de prompt rétablissement de l’artiste Bahia Rachdi ont été formulés, avant que la chanteuse syrienne Myriam Atallah et l’artiste algérien Yacine Tigher ne gratifient l’assistance de chansons à la gloire de l’Algérie, intitulées "Ya Djazaïr" et "Bilad Echouhada". Il est à noter que les Journées internationales du cinéma de Sétif, qui ont débuté samedi dernier, ont donné lieu à la projection de 21 courts métrages, en lice pour les différentes distinctions. Le public a également été convié à apprécier plusieurs longs-métrages, dont des productions palestiniennes, ce pays étant l’invité d’honneur de cet événement. "Tayara Safra" de l’algérienne Hadjer Sebata, "Oversized Coat" du palestinien Nawras Abu Saleh et "Jusqu’à la fin des temps" de l’algérienne Yasmine Chouikh, ont été ainsi projetés. Il reste, cependant, que le "clou" de la soirée de clôture a été la première projection à Sétif, aussitôt après la remise des prix, du film révolutionnaire de Bachir Derraïs, "Ben M’hidi", devant un public record.
  • 04-05-2024
    -Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a décidé d'assurer la prise en charge médicale de l'artiste, Bahia Rachedi, et la transférer à l'étranger pour poursuivre son traitement, indique ce samedi un communiqué du ministère de la Culture et des Arts. La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, s'est rendue samedi au domicile de l'artiste et actrice Bahia Rachedi, pour s'enquérir de son état de santé et l'informer que le président de la République a décidé d'assurer la prise en charge de son état de santé et la transférer à l'étranger pour poursuivre son traitement, précise le communiqué. L'artiste, née à Blida en 1948, a récemment annoncé sur sa page officielle du réseau social Facebook, qu'elle souffrait d'un cancer. Dans ce contexte, la ministre de la Culture et des Arts a décidé que l'édition 2024 du Festival de la littérature et du cinéma de la femme qui se tient à Saïda portera le nom de l’artiste Bahia Rachedi en l’honneur et en reconnaissance de son parcours artistique. Bahia Rachedi est considérée comme l'une des figures marquantes de la scène artistique algérienne à travers ses rôles au cinéma et à la télévision depuis la fin des années soixante...................................................... --Les 5èmes Journées internationales du cinéma ont été inaugurées, samedi soir, à la salle du "Dôme" du Park Mall de Sétif, en présence d’une pléiade d’artistes, de réalisateurs et d’opérateurs dans le domaine de l’industrie cinématographique, d’Algérie et de l’étranger. L’événement a vu la participation de personnalités artistiques et cinématographiques algériennes telles que Mustapha Laribi, Lydia Larini, Faouzi Benbraham, Hassan Kechache, Samir Hakim, Kaouther Bardi, Fizia Touggourti et autres. Des réalisateurs d’Algérie, de Tunisie, de Syrie, du Liban, de Palestine, d’Egypte, de Chypre et d’Iran participeront également à cet événement cinématographique, notamment Youcef Mehsas, Christine Andari, Ali Aïssaoui, Hadjer Sebata et Djaffar Kacem. Le lancement, à cette occasion, de la compétition liée aux courts-métrages, en lice pour l’Epi d’Or, l’Epi d’argent et l’Epi de bronze, a donné l’occasion au public de profiter à la projection de 4 films courts, dont "Laâlam" du réalisateur algérien Ahmed Aggoun, aux côtés de 3 autres œuvres d’Iran, d’Egypte et de Tunisie. Un jury composé des algériens Djaffar Kacem et Lamri Kaouane, du palestinien Nawras Abu Saleh et du tunisien Kaouther El Bardi évaluera les œuvres en compétition et désignera les lauréats. La soirée inaugurale a été marquée par la projection du film "Tayara Safra" (l’avion jaune) de la réalisatrice algérienne Hadjer Sebata qui a traité, dans son court-métrage, des pratiques odieuses et inhumaines de l’armée coloniale française durant la glorieuse Révolution.
  • 02-05-2024
    -Loi n° 24-07 du 20 Chaoual 1445 correspondant au 29 avril 2024 relative à l’industrie cinématographique (Joradp n° 31 du 2 mai 2024)
  • 01-05-2024
    -Une affluence considérable de visiteurs est enregistrée à la 4e édition du Salon national du livre "Hassiba Ben Bouali" ouverte, mercredi, au Centre culturel islamique (CCI) de Chlef, a-t-on constaté. Cet événement culturel, marqué par la participation d’une vingtaine de maisons d'édition de différentes wilayas, a attiré de nombreux amoureux du livre de tous les âges alléchés par la diversité et la richesse des ouvrages exposés. "Ce Salon national attire annuellement un nombre de plus en plus croissant de visiteurs, et nous œuvrons à le satisfaire en exposant à chaque fois davantage d’ouvrages adaptés à tous les goûts et à tous les âges, dont les enfants, en vue de contribuer à l’animation de la scène culturelle locale", a indiqué, Ali Laïb, directeur des éditions "Les Presses du Chélif", organisatrice de la manifestation. Le comité d'organisation a lancé des invitations à plus de 80 écrivains pour l’animation de conférences sur la littérature et les langues, en plus de ventes dédicaces de livres, a-t-il ajouté. Participant pour la 3e fois à ce Salon, l'écrivain Slimane Cherifi de Mascara a souligné le "rôle et l'importance" de ce type d’événements culturels, dans le "soutien de l'écriture et la préservation de la place du livre, parallèlement à l’instauration de ponts de communication et d’échange culturel entre les wilayas"........................................................... - Le long-métrage « Matria », du réalisateur espagnol Alvaro Gago a remporté le grand prix, la « Gazelle d’Or », du 4ème Festival du film méditerranéen d’Annaba, clôturé mardi soir dans un théâtre régional Azzdine-Medjoubi plein à craquer, en présence, également, de cinéastes arabes et d’autres venus de pays entourant le bassin méditerranéen. « Matria », qui met en vedette Maria Vazquez, traite d’un thème éminemment social à travers l’histoire d’une mère vivant, à la suite de son licenciement de l’usine où elle était salariée, dans des conditions sociales très difficiles, et se trouve contrainte d’enchaîner les petits boulots pour assurer l’avenir de sa fille. Le film donne une image très forte de ces femmes résilientes, inébranlables, faisant face avec courage et détermination aux circonstances difficiles. L’actrice principale, Maria Vazquez, a d’ailleurs remporté le prix de la meilleure interprétation féminine. Le prix de meilleure interprétation masculine est revenu à l’acteur palestinien Saleh Bakri pour son rôle dans le film « The teacher » (L’enseignant), œuvre de la réalisatrice palestinienne Farah Nabulsi, narrant l’histoire d’un enseignant palestinien qui veut mettre ses élèves en sécurité grâce à la science, tout en leur apprenant à ne pas baisser l’échine devant l’occupant sioniste. Le prix du meilleur scénario a été décerné, dans la catégorie des longs-métrages, au film « Rosinante », du turc Baran Gündüzalp, tandis que le prix du jury est revenu au film algérien « Frantz Fanon », réalisé par Abdelnour Zahzah. Dans la catégorie du film documentaire, le 1er prix est allé au film Italien « Sarura » de Nicola Zambelli, tandis que le prix du meilleur court-métrage a été attribué au film palestinien « Sokrania 59 » réalisé par Abdallah Al Khatib. La quatrième édition du Festival du film méditerranéen d’Annaba a également été marquée par la remise d’un prix du public dédié au regretté réalisateur algérien Amar Laskri, décerné, à la suite d’un vote des étudiants de l’Ecole supérieure de gestion d’Annaba où ont été projetés des films algériens, au film « Tayara Safra » (l’avion jaune), réalisé par Hadjer Sebata. La cérémonie de clôture de la 4ème édition du Festival du film méditerranéen d’Annaba a été marquée par un hommage rendu, en leur présence, à des personnalités artistiques du monde du 7ème art cinéma, en l’occurrence Fathi Haddaoui, de Tunisie, Mostafa Shaaban, d’Egypte, Sherine Abdel Wahhab, d’Egypte également, et le cinéaste algérien Merzak Allouache. La soirée de clôture du festival, ouverte par des morceaux interprétés par l’Orchestre Symphonique de l’Opéra d’Alger et une performance lyrique du chanteur Kamel Bennani, a donné lieu à la projection d’un film intitulé « Deux jours », du réalisateur syrien Bassel Al Khatib avec, pour principal acteur, le célèbre Duraid Lahham. Six jours durant, du 24 au 30 avril, la ville d’Annaba a vécu au rythme du 7ème art, le public cinéphile de « La Coquette » n’ayant pas laissé s’échapper l’occasion de voir 70 films produits dans 18 pays du pourtour méditerranéen.