Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Communication ( et Presse)

Mois du 04/2020

<< avril 2020 >>
sam dim lun mar mer jeu ven
28 29 30 31 1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30 1



  • 30-04-2020
    -L’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) appelle, ce jeudi au strict respect de l'éthique professionnelle et des règles juridiques et réglementaires de la profession, mettant en garde que tout manquement pourrait entraîner le retrait de l'autorisation d'exercer l'activité audiovisuelle octroyée par le ministère de la Communication aux chaînes de télévision de droit étranger. Dans un communiqué conjoint du président de l'ARAV et du ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, l'ARAV a rappelé aux chaînes de télévision l'impératif "de se conformer strictement aux observations et recommandations émises dans ses communiqués du 23/03/2020 et du 22/04/2020". L'ARAV qui rappelle avoir salué "les efforts consentis par ces chaînes dans la couverture et le traitement médiatique de la pandémie du Covid-19", déplore "des dépassements professionnels attentant à la morale, lors de la diffusion par certains chaînes de programmes médiocres et immoraux durant le mois de Ramadhan, ce qui a amené l'ARAV a adresser des avertissements à ces chaînes en vue de mettre fin à ces dérapages qui ne servent guère la scène médiatique, et le rôle qui incombe aux médias, à savoir la promotion de la créativité intellectuelle et artistique dans le respect des fondements et principes de la société et les valeurs religieuses et nationales". L'ARAV invite également les autre chaînes à "bannir, dans leurs programmes pour le mois de Ramadhan, toute forme de violence, à respecter les principes de la profession et raffiner les goûts", appelant "à prendre les mesures appropriées pour faciliter l'accès des personnes aux besoins spécifiques aux programmes audiovisuels". Elle affirme également "être déterminée à promouvoir et réguler la scène audiovisuelle conformément à l'éthique de la profession, mettant en garde contre tout manquement qui pourrait induire un recours au retrait de l'autorisation d'exercer l'activité audiovisuelle accordée par le ministère de la Communication aux chaînes de télévision de droit étranger…………………………………………………………….. - Après 13 ans d’existence le quotidien arabophone « Ennahar » cesse officiellement de paraître . Dans un communiqué rendu public, la direction du journal appartenant à la SARL El Athir presse, explique les raisons de cette cessation par la suspension de la publicité publique depuis le mois de février passé, la situation sanitaire que traverse le pays à cause de la propagation du Covid-19 et les mesures de confinement instaurées dans le pays, entrainant la fermeture des buralistes sont essentiellement les points invoqués par la direction les poussant à mettre fin à l’édition du journal papier. La direction du journal indique également que la suspension de parution du journal a été décidée afin d’éviter l’accumulation des dettes auprès des imprimeries publiques et des sociétés de distribution. Le journal Ennahar reste néanmoins présent sur le net à travers Ennahar Online. Après l’arrestation du patron du groupe Ennahar Anis Rahmani, la fermeture du site Alg24 appartenant au même groupe et l’arrêt de la diffusion du journal papier Ennahar, c’est tout un empire qui est en train de se rétrécir comme une peau de chagrin. Seule la chaîne Ennahar Tv reste encore en lice, mais pour combien de temps? Avec la suppression de la publicité publique (La principale source de revenu du groupe) la chaîne est plus que jamais menacée. Plusieurs journalistes et techniciens ont d’ailleurs annoncé leur départ de la chaîne……………………………………………… -Le président de la République Abdelmadjid Tebboune rencontre jeudi soir des représentants de la presse nationale (4) avec lesquels il a fait le tour des multiples questions qui agitent actuellement l’opinion algérienne, au moment où le pays traverse une phase délicate, marquée par une crise sanitaire massive, mais surtout une crise économique, du fait la contraction des réserves financières du pays, conséquence de la plongée sans précédent des cours du pétrole. Pandémie du Coronavirus et les mesures prises par le gouvernement pour y faire face, assouplissement des dispositions du confinement, année scolaire et examen de fin d’année sont parmi les points abordés par le président Tebboune. Egalement il a été question, lors de cette rencontre, du projet de loi de finance complémentaire (PLFC), du plan d’urgence du gouvernement pour s’adapter à la situation sur les plans social et financier, selon le teasing de certaines télévisons d’après lesquelles le président a parlé de la problématique de l’information et de la situation politique régionale. L’entretien du président Tebboune sera diffusé vendredi soir, à partir de 21 heures sur les chaînes de la télévision publiques et privées et radios (Chaîne I, II et III).
  • 28-04-2020
    - Le groupe Echourouk a annoncé hier soir la suspension de la série comique « Dar Laadjeb », réalisé par Amin Boumédiene suite à un grave dérapage dans le dernier épisode de la série. Dans cet épisode, la série Dar Laadjab, en panne d’imagination, avait parodié un fait politique qui avait fait grand bruit à l’époque en Tunisie, le dépôt de 150 millions de dollars effectué par le président Tebboune à la banque centrale tunisienne. Les auteurs de la série ont dans ce sens caricaturé le président tunisien Kaîs Saîed, créant une forte polémique sur les réseaux sociaux entre les tunisiens et la chaîne Echourouk. La télévision privée propriété de la famille Fodil a rapidement réagi et n’a pas attendu la sanction de l’Arav. Dans son communiqué, rendu public hier soir, le groupe Echourouk s’excuse et affirme n’avoir eu aucune intention de nuire aux voisins tunisiens ni porter atteinte aux bonnes relations algéro-tunisiennes. Dans le même sillage, le groupe Echourouk a stoppé définitivement la série pour ce ramadhan et a présenté devant le Conseil de discipline, la commission chargée de visionner les programmes et qui ne s’est pas rendu compte de la portée pernicieuse de cet épisode…………………………………………………………………………… ;; - Après l’avertissement de la chaine Numidia tv, l’autorité de régulation de l’audiovisuel ARAV vient d’adresser un avertissement à la chaine Echourouk tv, à propos du programme humoristique « Dar Laajab » diffusé ce mois de Ramadhan. En effet, l’ARAV a indiqué ce mercredi via un communiqué rapporté par l’agence officielle que l’autorité a constaté que l’épisode diffusé le 27 avril dernier contient des propos qui portent « atteinte à la dignité humaine » et un « non-respect des intérêts économique et diplomatique du pays ».En outre, le communiqué indique que le Directeur de l’ARAV a appelé les responsables de la chaine le 28 avril en leur adressant un avertissement verbal.
  • 26-04-2020
    -L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV) a adressé, ce dimanche, un avertissement à la chaîne Numidia TV suite à la diffusion, vendredi 24, d'une émission de caméra cachée intitulée "Ana Wradjli" (Mon mari et moi) qui comprenait de "flagrantes infractions ayant entamé l'éthique professionnelle et attenté à l'ordre public", indique l'ARAV dans un communiqué………….. "Compte tenu du souci de l'ARAV de veiller au respect des lois et règlements en vigueur dans tout programme audiovisuel, et après avoir visualisé l'émission de caméra cachée intitulée +Ana Wradjli+, diffusée sur la chaîne privée Numidia TV le 24 avril, laquelle a suscité de vives réactions auprès de citoyens à travers les réseaux sociaux, mais aussi auprès de la presse nationale au sujet des infractions flagrantes entamant l'éthique professionnelle et attentant à l'ordre public, à la vie privée, à l'honneur et à la réputation des personnes loin de tout respect de la dignité humaine, l’ARAV adresse un avertissement à la chaîne Numidia TV, pour ne plus diffuser ce type de programmes, se réservant le droit de prendre d’autres mesures en cas de récidive", indique le communiqué. L’ARAV a également rappelé aux autres chaînes, "le communiqué rendu public de concert avec le ministère de la Communication, et les mises en garde contre tout manquement à l'éthique professionnelle et aux lois de la République", conclut le communiqué…………………………….. Numidia suspend sa caméra cachée : La chaîne Numidia TV a annoncé, dimanche soir, la suspension de la diffusion de son émission caméra cachée "Ana w radjli"(moi et mon époux) suite à la mise en demeure de l'ARAV.
  • 24-04-2020
    - Le ministre de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, Ammar Belhimer, Dans un entretien accordé au quotidien saoudien "Al-Riyadh", a évoqué la question du financement étranger des médias nationaux soulignant que l'ouverture de ce dossier intervenait "sur injonction présidentielle" et partant, a-t-il soutenu "il sera ouvert avec fermeté et sans exception aucune car, il s’agit pour nous d’une forme d'ingérence étrangère et de connivences internes qu'aucun Etat souverain ne peut tolérer ou accepter". "Les financements étrangers de la presse nationale, tous supports confondus, sont strictement interdits, quelle que soient leur nature et provenance", a-t-il rappelé. "Le capital social doit être exclusivement national et les fonds investis justifiés", a-t-il ajouté, citant l'article 29 du Code de l'information qui stipule explicitement que "toute aide matérielle directe ou indirecte de toute partie étrangère est interdite" en plus de la loi relative à l'activité audiovisuelle. A ce propos, le ministère de la Communication avait publié plusieurs communiqués à travers lesquels il a appelé tous les acteurs de la presse nationale au "strict respect des lois en vigueur en cette phase transitoire", a encore rappelé M. Belhimer.
  • 23-04-2020
    -L’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) rappelle, ce mercredi, les différents médias audiovisuels (publics et privés) sur la nécessité de respecter l' »éthique et la déontologie » dans l’accomplissement de leur mission en ce mois de jeûne, tout en poursuivant leurs efforts à encourager les citoyens à respecter les différentes consignes sanitaires pour mettre fin à la crise du coronavirus. Le communiqué cosigné par le président de l’ARAV, Mohamed Louber et le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Amar Belhimer, à la veille du mois sacré du Ramadan, insiste sur l’importance des différents médias audiovisuels, publics et privés à respecter l' »éthique et la déontologie dans l’accomplissement de leur mission en ce mois de jeûne », et « faire preuve de professionnalisme, favorisant ainsi l’intérêt général qui prévaut sur l’intérêt personnel ». Il appelle au respect des valeurs nationales, religieuses et socioculturelles qui demeure « primordial » en ce mois le jeûne et d’abstinence, les invitant à adapter leurs programmes à l’occasion, en évitant les violences à l’écran, les publicités mensongères, et en assurant un service public de qualité. « Nous sommes à la veille du mois de ramadan, un mois saint qui implique pour les musulmans des changements importants dans leur mode de vie, particulièrement en ce qui concerne le devoir spirituel, les habitudes alimentaires et les pratiques sociales dont le rapport à la communication audiovisuelle, singulièrement la télévision, constitue un segment essentiel », précise le communiqué. « Il importe en conséquence d’attirer l’attention des différents médias audiovisuels (publics et privés) sur la nécessité d’adapter leur grille de programme aux exigences qu’imposent les modifications comportementales de nos concitoyens durant cette période sacrée », ajoute la même source. Par ailleurs, la même source rappelle que dans un précédent communiqué, l’ARAV avait rendu publiques quelques consignes de sécurité sanitaire concernant la pandémie que traverse le monde, y compris l’Algérie et la couverture médiatique requise en ces circonstances. A cet effet, le communiqué commun tient à saluer « l’effort et la responsabilité dont ont fait preuve les différents médias publics et privés qui ont vite affiché leur disponibilité et ont accompagné les efforts fournis par l’Etat algérien pour faire face à cette pandémie du COVID-19 ». La même source note en outre, que de par sa position actuelle, l’ARAV, qui opère en coordination avec le ministère de la Communication conformément aux lois en vigueur, compte sur « le sens de la discipline, de la rigueur et du respect des lois dans le secteur de l’audiovisuel ». Elle tient à ce que les différents acteurs de ce même secteur agissent avec « sagesse et responsabilité en encourageant nos concitoyens à respecter les normes et les différentes consignes sanitaires durant cette période que nous allons vivre pour la première fois dans l’histoire dans des circonstances très particulières, afin de sortir de cette crise que nous traversons dans les plus brefs délais ». « Tout droit est soumis à un engagement, faudrait-il le rappeler », conclut le communiqué.
  • 20-04-2020
    -Après Maghreb Emergent et Radio M, le ministère de la communication a fermé le site d’information Interlignes, créé en juillet 2018 par Bouzid Ichalalene. Le site d’information en ligne algérien Interlignes est censuré par les autorités, a indiqué dimanche soir, 19 avril, son fondateur et directeur de publication, Bouzid Ichalalene. Il s’agit du troisième média algérien à être la cible d’une mesure de censure par les autorités depuis le 10 avril après deux sites du groupe Interface Médias : Maghreb Emergent et Radio M, une webradio. Interlignes est inaccessible depuis la fin de la matinée de dimanche en Algérie, selon son directeur de publication. . Basé à Alger, Interlignes est un média en ligne généraliste, lancé début 2018 par M. Ichalalene, un professionnel issu de la presse papier, et composé d’une équipe de jeunes journalistes. Le site avait été déjà censuré en juillet 2019 en raison de sa couverture des marches du Hirak, Interrogé par l’AFP à ce sujet, M. Ichalalene a assuré qu’Interlignes tirait son financement à 100 % de la publicité en ligne en Algérie. ».
  • 16-04-2020
    -Le ministère de la Communication indiqué ce jeudi que tous les dossiers de financements extérieurs au bénéfice de la presse ou de tout autre secteur seront ouverts, ces financements étant "absolument interdits" par la loi. "Tous les dossiers de financements extérieurs au bénéfice de la presse ou de tout autre secteur seront ouverts, c'est-à-dire mis à plat par les instances ad hoc de l'Etat. Cet examen et cette exposition en détail seront effectués sous l'angle de ce que ces financements étrangers recèlent comme atteintes caractérisées à la souveraineté nationale. Ces financements alimentent, par ailleurs, les résistances aux réformes patriotiques souhaitées", a affirmé le ministère dans un communiqué................................... Le ministère de la Communication a rappelé que le premier responsable du secteur, Dr. Ammar Belhimer, porte-parole du gouvernement, avait récemment appelé tous les acteurs de la presse nationale au "strict respect de la loi, notamment en ce qui concerne les financements étrangers" et avait précisé que "ces financements extérieurs quelles qu'en soient la nature, l'origine et la provenance sont absolument interdits".............................. Rappelant également que les financements extérieurs de la presse sont prohibés en vertu de la loi organique n° 12-05 du 1er janvier 2012 relative à l'Information et de la loi n° 14-04 du 24 février 2014 relative à l'activité audiovisuelle, le ministère de la Communication a relevé que "les financements étrangers de quelque activité que ce soit sont encadrés par la loi à laquelle nul ne peut déroger"................................................. S'agissant de la presse nationale, l'article 29 de la loi sur l'Information stipule, en effet, de manière "claire et précise", que "l'aide matérielle directe et indirecte de toute partie étrangère est interdite", a noté la même source, ajoutant que le même article oblige tous les médias écrits et audiovisuels à "déclarer ou à justifier l'origine des fonds constituants leur capital social et ceux nécessaires à leur gestion, conformément à la législation en vigueur"............................. A propos des télévisions et des radios hertziennes ou satellitaires, des WebTV et des Web-radios, la loi n° 14-04 du 24 février 2014 "énonce, par ailleurs, et de manière nette, la stricte obligation de justifier de ‘l'exclusivité nationale’ du capital social ainsi que de ‘l'origine des fonds investis’"............................................. Cette mise à plat des financements étrangers "s'inscrit en droite ligne de l'entreprise de redressement national que le président de la République, Monsieur Abdelmadjid Tebboune, a la ferme volonté de mener à son terme, et qui passe par une remise à plat des bases institutionnelles et juridiques de l'Etat et de l'économie", a souligné encore la même source. Il s'agit dans ce cadre de "procéder à un état des lieux sans concessions pour aboutir à une reconstruction totale de l'Etat qui est la base solide sur laquelle reposera la Nouvelle République dont les 54 engagements présidentiels de l'élection présidentielle du 12 décembre 2019 ont en esquissé les lignes directrices", a conclu le communiqué.
  • 15-04-2020
    -Le ministre de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, Ammar Belhimer a affirmé ce mercredi que l’application de la loi de l’offre et la demande en matière de distribution de la publicité publique requiert d’abord un assainissement du secteur, après des années de corruption ayant favorisé la dilapidation des deniers publics par des "forces externes à l’Information et des clans politiques". "Avant l’application stricte de la loi de l’offre et la demande, il faudrait passer par une période de transition permettant de réhabiliter et assainir le secteur de la publicité publique", a souligné le ministre dans une entrevue accordée au quotidien "El Khabar", parue dans son édition d’aujourd’hui, au sujet des délais de satisfaction des "revendications des professionnels de la presse relatives à la libération de la publicité publique et institutionnelle". Pour A. Belhimer cet assainissement s’impose par "l’ampleur de la corruption qui a gangréné les structures de ce secteur et facilité la dilapidation des deniers publics par des forces externes à l’Information, des clans politiques et des hordes de puissances diaboliques agissant dans l’ombre et qui tiraient les ficelles au sein même de l’Agence nationale d'édition et de publicité (ANEP)". Cette situation qui a perduré des années et des années a favorisé l’apparition de réseaux d’influence et d’allégeance "ayant infiltré les rouages de l’administration, de la presse et des centres de décisions, à tous les niveaux", a-t-il expliqué. C’est pourquoi a été initié une "large opération d’assainissement et de profonde restructuration" de l’ANEP à la faveur de l’installation d’un staff "solide et cohérent" pour mener à bien la mission de "transformer l’Agence de simple boite de distribution de la rente publicitaire en entreprise innovante et créatrice d’emploi et de richesse", a-t-il poursuivi. Plus précis, M. Belhimer a fait savoir que la publicité publique représentait 65% du marché publicitaire global et que c’est là, un soutien indirect à la presse algérienne, tant publique que privée.(Voir texte complet de la synthèse Aps in Communication/Gouvernement)
  • 12-04-2020
    Le Ministère de la Communication appelle, ce dimanche, la presse nationale au "strict respect" du droit en matière de financements étrangers…… Le Ministère rappelle, dans un communiqué, que "les financements étrangers de la presse nationale (tous supports confondus), de quelque nature que ce soit et de quelque provenance que ce soit, sont absolument interdits". "Ces financements sont prohibés en vertu de la loi organique 12-05 du 1er janvier 2012 relative à l’Information et de la loi 14-04 du 24 février 2014 inhérente à l’activité audiovisuelle", note le ministère, ajoutant que l’article 29 de la loi sur l’Information souligne, de manière claire et précise, que "l’aide matérielle directe et indirecte de toute partie étrangère est interdite". Le même article oblige tous les médias écrits et audiovisuels à "déclarer ou à justifier l’origine des fonds constituants leur capital social et ceux nécessaires à leur gestion, conformément à la législation en vigueur", poursuit le ministère. Cela concerne aussi les télévisions et des radios hertziennes ou satellitaires et des WebTV et des Web-radios (cf la loi 14-04 du 24 février 2014 ) (Voir texte intégral in Communication/Documents et textes réglementaires) -Les nouveaux membres du Conseil d’administration de l’Agence nationale d’édition et de publicité (ANEP) sont installés pour élaborer élaborer un plan d’action visant le développement de ses performances et la modernisation de sa gestion,. Le ministre de la Communication, Porte-parole du gouvernement, Amar Belhimer avait procédé, samedi, à la dissolution de l’ancien Conseil d’administration et la nomination de ces nouveaux membres, installés dimanche ». Le nouveau Conseil d’administration est composé de plusieurs personnalités connues dans le domaine de la gestion financière, de la comptabilité et du marketing, à savoir: . Ahmed Souames, professeur de mathématiques appliquées et en gestion industrielle et expert en économie et statistiques, Ahmed Benabbès (PDG du groupe FERAAL), expert international en édition et gestion industrielle, Herchouche Liazid, ancien inspecteur des finances au ministère des Finances et ancien cadre dans de nombreux ministères tels que l’Intérieur, l’Agriculture, la Formation professionnelle et l’Education nationale et Ammar Lounis, ancien Directeur central à Naftal et Médiateur du Gouvernement en 1984. Parmi les missions assignées au nouveau staff, selon la même source, « la révision rapide des mécanismes de gestion et la restructuration de l’Agence pour s’adapter aux mutations importantes et accélérées que connaît l’Algérie, notamment dans le secteur des nouvelles technologies de l’information et de la numérisation ». -Le ministre conseiller et porte-parole officiel de la présidence de la République, Bélaid Mohand Oussaid fait cedimanche une mise au point aux commentaires critiques qui ont accompagné les propos qu’il a tenus sur le Hirak» lors d’une émission sur la chaîne publique ENTV, jeudi soir. Dans un communiqué rendu public et posté sur la page Facebook de la Présidence, Belaid Mohand Oussaid a tenu à apporter des éclaircissements «afin de lever la confusion sur la réalité des déclarations faites dans l’émission « à coeur ouvert » qui a été diffusée dans la soirée du jeudi 09 avril soir sur la télévision nationale, à propos de la position sur le hirak que certaines parties ont délibérément sorti de leur contexte avec l’intention de tromper et de diffamation». Ainsi, le porte-parole de la présidence précise d’emblée qu’il n’a pas visé dans ses propos «toutes les parties» du Hirak, mais «certaines parties» qui incitaient à manifester malgré la situation marquée par la propagation de la pandémie du coronavirus et qui ne permettait pas d’organiser des manifestations. «On sait que ces parties aux relations suspectes ont même empêché les appels des sages du Hirak d’arriver et qui ont été à leur tour victimes, de la part de ces parties, d’insultes et de menaces», écrit Belaid Mohand Oussaid, précisant que les «fidèles au Hirak» sont consultés à chaque fois qu’il s’agit de l’intérêt de la nation. Et de rappeler que le président de la République lui-même avait entamé des consultations, «avec un nombre de symboles du Hirak au sujet de la situation du pays et la révision de la Constitution». «Ces hommes et femmes sont respectés quant au rôle joué pour sauver le pays d’un effondrement certain », précise-t-il. Le Conseiller du président Tebboune s’en prend après à ceux qui, d’après lui, «cherchent a nous distraire des problèmes essentiels». (…) «Quant à ceux qui ont l’intention de déformer et chasser dans les eaux troubles, nous n’allons pas entrer avec eux dans une discussion stérile, car leur plan est démasqué aux yeux de notre peuple et cherchent à nous distraire des problèmes essentiels pour servir notre nation dans cette situation délicate », conclut le communiqué.
  • 09-04-2020
    - Quelques jours seulement après l’incarcération d’une figure émergente du journalisme algérien, en l’occurrence, Khaled Drareni, et la condamnation ou le placement sous contrôle judiciaire d’autres journalistes, deux sites d’information en ligne, Maghrebemergent.info et Radiom.info sont bloqués (par les autorités ?). Depuis jeudi, en fin d’après-midi, ces deux sites, en effet, dont le premier, , lancé en 2010, et le second lié à la première web-radio lancée en 2013, sont accessibles uniquement par VPN. Si aucune source officielle ne s’est encore exprimée sur la question, l’éditeur, en revanche, dénonce une “censure politique”. “
  • 06-04-2020
    -Le nouveau Président-directeur général (P-dg) de l'Agence nationale d'édition et de publicité (ANEP), Larbi Ounoughi, installé, ce lundi 6/4 dans ses nouvelles fonctions, en remplacement de Assia Baz, dont il a été mis fin aux fonctions de Directrice générale par intérim. La cérémonie d'installation s'est déroulée au siège du ministère de la Communication en présence du ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer. Après avoir félicité le nouveau P-dg de l'ANEP, A. Belhimer a réitéré l’engagement qu'il a pris depuis son arrivée d’engager une refonte globale du système d’information et d’organiser 10 ateliers pour l'examen des différents aspects, dans le cadre du partenariat et du dialogue permanent avec la corporation de la presse en Algérie. Des ateliers seront dédiés à la mise en place d'un cadre juridique pour les activités de la presse électronique, l'édition et la publicité, les chaînes de télévision privées et l'activité publicitaire.De son côté, L. Ounoughi a indiqué qu’il «s’attellera à relever le défi et à œuvrer avec célérité à l’accomplissement de la mission qui lui est confiée, à savoir l’assainissement du secteur des forces illégales» en coordination avec la famille du secteur, appelant toutes les parties à «la solidarité absolue pour atteindre cet objectif».L. Ounoughi avait occupé le poste de conseiller auprès du ministère de la Communication. Il avait occupé plusieurs postes de responsabilité dans la presse nationale.
  • 02-04-2020
    - Chantage sur les réseaux sociaux. Trois réseaux démantelés à Alger .Des journalistes et des avocats parmi les mis en cause