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Culture (et Religion)
Journée du Vendredi 10/05/2025 |
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-Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a adressé, ce samedi, un message aux hadjis à l'occasion du départ du premier vol vers les Lieux saints de l'Islam.....................................
-Le prix littéraire Mohammed Dib 2025' (dans sa 9ème édition) a été attribué, en fin d'après-midi, de ce samedi 10 mai, à partir du Palais de la Culture de Tlemcen, dans la catégorie langue arabe, à Abdelkader Berghout pour son roman « Sirat Mawta Lam Yobkihom Ahad», à Ould Amar Tahar pour son ouvrage «Murdus» dans la section langue tamazight, et à Laihem Aimen pour son livre «Taxis» dans la catégorie langue française.
L'écrivain Mourad Yelles a présidé le jury de ce Prix Dib 2025 et Mme Nadjat Khadda en a été la présidente d'honneur.
Pour rappel, le prix ‘Mohammed Dib' de littérature est destiné à promouvoir la jeune écriture algérienne et récompense, en principe tous les deux ans (sauf cas de force majeure, telle l'absence de candidats crédibles comme en 2015 ou des difficultés de financement comme pour l'édition de cette année qui a été reportée de plusieurs mois) soit un roman soit un recueil de nouvelles, rédigé en arabe, en tamazight et en français.
Signalons qu'un nouveau prix littéraire baptisé Prix « Dib Espoir » (dont c'est la 1ère édition) et spécialement dédié à de très jeunes plumes, a été attribué quant à lui à Mlle Serine Bessaid pour sa nouvelle « Le rouge du café ». (Il est intéressant de signaler que les trois finalistes de ce Prix « Dib Espoir' sont des jeunes filles). Ce nouveau prix, dont le jury était présidé par l'écrivain Lazhari Labter, avec la participation de Mmes Keltoum Staali et Benchouk Nadjet, « est, selon un des organisateurs, l'expression la plus concrète de l'espoir de voir émerger dans notre pays une nouvelle génération d'écrivains.»
Né le 21 juillet 1920 à Tlemcen et décédé le 2 mai 2003 dans son appartement de La Celle-Saint-Cloud (dans la région parisienne) Mohammed Dib avait gardé de son enfance tlemcenienne et son engagement pour la cause de son pays alors colonisé, une âme profondément algérienne. Selon sa fille, Mohammed Dib, «avait uniquement un passeport algérien avec lequel il se déplaçait à travers le monde, et vivait en France, depuis 1958 et jusqu'à sa mort en 2003, en tant qu'Algérien, avec une carte de résident.»
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