|
|
Communication ( et Presse)
Journée du Dimanche 08/12/2025 |
|


|
-Plusieurs journaux nationaux ont dénoncé les campagnes politiques et médiatiques menées par certains milieux français hostiles à l'Algérie, suite à la confirmation par le tribunal de Tizi Ouzou du verdict rendu contre le journaliste français Christophe Gleize, entré en Algérie déguisé en touriste dans le but de diffuser un récit fictif s'inscrivant dans le cadre d'une activité subversive, en faveur d'une organisation terroriste (MAK).
Dans un article intitulé « Quand Paris se noie dans son hypocrisie ! », le journal « Le Soir d'Algérie » écrit que « la France, sous les traits d'un professeur, critique le système judiciaire algérien, qui n'a jamais auparavant arrêté un diplomate français dans la rue sur la base d'un signal provenant d'un téléphone portable », faisant référence à l'incident de l'arrestation d'un employé consulaire algérien à Paris le 11 avril, en violation flagrante des normes et règles diplomatiques.
Le journal a cité le cas du joueur de l'équipe nationale Youcef Atal, condamné par la justice française à six mois de prison avec sursis pour un message de soutien à Gaza au plus fort des crimes commis par l'occupation sioniste, considérant que « la justice en France n'est rien d'autre qu'un outil politique, un moyen d'oppression et un paravent moral pour une classe qui se croit encore maîtresse du monde ».
Dans une analyse approfondie, le journal déplorait que « la France ne réponde pas aux mandats d'arrêt internationaux émis par l'Algérie. Face aux criminels qui ont pillé les richesses du peuple algérien, Paris semble soudainement souffrir d'amnésie, de surdité et de cécité. Ces mandats d'arrêt internationaux, émis par l'Algérie, sont ignorés, bloqués et relégués aux oubliettes. »
De son côté, le journal Al-Khabar a condamné le soutien flagrant de la France au mouvement terroriste MAK. Le journal a déclaré que « la France ouvre grand ses portes au MAK, classé comme organisation terroriste en Algérie, sous prétexte de le désigner comme association au sens de la loi de 1901 », affirmant que le cas du journaliste Ghliz « révèle la duplicité de la France, sa complicité calculée et son instrumentalisation politique d'un groupe séparatiste pour déstabiliser l'Algérie ».
Le journal a ajouté que « le cas de Christophe Gleize n'est pas celui d'un journaliste au sens professionnel du terme, mais plutôt celui d'une personne venue en Algérie déguisée en touriste pour promouvoir un discours séparatiste, et qui a été chargée d'une mission par le mouvement MAK, classé comme terroriste par l'Algérie et secrètement soutenu par les services de renseignement français. »
Lorsque la justice algérienne agit dans le cadre de sa pleine souveraineté, Paris crie à l'injustice et brandit la liberté de la presse, recourant à son vieux lexique de la liberté d'expression, comme si l'espionnage politique sous couvert de journalisme était un droit sacré.
Les journaux nationaux concluent en déclarant : « L’Algérie ne reçoit de leçons de personne, et certainement pas d’une autorité française en proie à un effondrement moral », ajoutant que « Paris est en colère et tendue car l’Algérie avance et ne se soumet plus. Le peuple algérien a décidé de regarder vers l’avenir, sans permission, sans tutelle, sans restrictions. Et pour cette raison, la France ne pardonne pas et ne pardonnera peut-être jamais. »
|
 |
|