Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Communication ( et Presse)

Mois du 06/2025

<< juin 2025 >>
sam dim lun mar mer jeu ven
31 1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30 1 2 3 4



  • 16-06-2025
    -La Direction Générale de la Communication de la Présidence de la République a démenti la tenue de toute entrevue médiatique entre le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune et des organes de presse étrangers, relayée par plusieurs comptes sur les réseaux sociaux. "Depuis quelques heures, plusieurs comptes sur les réseaux sociaux relaient une information selon laquelle le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, aurait accordé un entretien à des journaux français. Cette prétendue interview a été reprise par plusieurs sites de presse électronique, alors qu’il ne s’agit que d’une pure invention, fabriquée de toutes pièces par des comptes hostiles ayant eu recours à la technique du photomontage pour tromper l’opinion publique, tant nationale qu’internationale", a indiqué la Direction Générale de la Communication de la Présidence de la République dans un communiqué. "La Direction Générale de la Communication de la Présidence de la République dément formellement la tenue de tout entretien entre le Président de la République et des organes de presse étrangers. Elle condamne fermement ces pratiques scandaleuses et immorales rendues possibles par les nouvelles technologies de l’information et de la communication, utilisées par des mercenaires du mensonge opérant depuis l’ombre de leurs écrans", a-t-elle ajouté, appelant "l’ensemble des professionnels des médias, en Algérie comme à l’étranger, à faire preuve de rigueur et à vérifier l’authenticité de telles informations auprès de leurs sources officielles"................................ -Les diffusions de Radio France Internationale (RFI) et de la chaîne de télévision France 24 ont été suspendues hier au Togo pour trois mois par l'instance de régulation des médias, qui accuse les deux médias publics français d'avoir «relayé des propos inexacts et tendancieux», apprend-on hier des agences de presse. «Plusieurs émissions récentes ont relayé des propos inexacts, tendancieux, voire contraires aux faits établis, portant atteinte à la stabilité des institutions républicaines et à l'image du pays», indique la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC), dans un communiqué. Cette suspension intervient une dizaine de jours après des manifestations contre le pouvoir qui ont secoué la capitale Lomé. Pour rappel, cette suspension qui vient réduire un peu plus l'espace de diffusion en Afrique de l'Ouest de ces deux médias publics français, n’est pas la première du genre. Ces deux médias avaient été suspendus au Mali depuis 2022 puis au Burkina Faso et au Niger, depuis 2023.
  • 14-06-2025
    -L'Autorité nationale indépendante de régulation de l'audiovisuel (ANIRA) a appelé, samedi dans un communiqué, les établissements de communication audiovisuelle à cesser immédiatement l'exploitation illégale des œuvres protégées par des droits d'auteur, qualifiant ces pratiques de «non professionnelles et non éthiques». L'ANIRA a indiqué avoir «reçu une correspondance de l'Office national des droits d'auteur et des droits voisins (ONDA) faisant état de violations répétées de la part de certains établissements de communication audiovisuelle, qui, malgré les mises en demeure qui leur ont été adressées, continuent d'exploiter illégalement des œuvres protégées par des droits d'auteur, au mépris des lois et réglementations en vigueur, sans pour autant bénéficier de licences et sans s'acquitter des redevances financières dues». En effet, «certains établissements audiovisuels exploitent des œuvres protégées au mépris total des dispositions du cahier des charges générales imposables aux services de communication audiovisuelle et des conventions en vigueur, ce qui constitue une atteinte flagrante aux droits de propriété intellectuelle et une violation manifeste de l'article 75 de la loi 23-20 relative à l'activité audiovisuelle, ainsi que des dispositions de l'ordonnance 03-05 relative aux droits d'auteur et aux droits voisins», ajoute le communiqué. Soucieuse de «promouvoir un environnement professionnel sain dans le paysage audiovisuel», l'Autorité appelle les responsables des établissements audiovisuels à «cesser immédiatement de telles pratiques non professionnelles et non éthiques qui nuisent à l'image des médias nationaux et sapent leur crédibilité», insistant sur «la nécessité pour ces établissements de régulariser leur situation contractuelle vis-à-vis de l'ONDA, notamment à travers la conclusion de conventions claires préservant les droits matériels et moraux des auteurs». Le respect des droits d'auteur et des droits voisins est «primordial pour soutenir et pérenniser la créativité artistique et culturelle, rendre justice aux créateurs, renforcer la confiance entre les différentes parties prenantes et contribuer à donner une image professionnelle et positive du secteur audiovisuel national», a souligné l'ANIRA. Et d'expliquer que cette mesure «s'inscrit dans le cadre de ses missions de régulation des pratiques professionnelles en vue d'instaurer la culture du respect des droits d'auteur dans le paysage audiovisuel et de favoriser les utilisations responsables et autorisées des œuvres protégées, garantissant ainsi un équilibre entre liberté du travail journalistique et respect des lois, et consacrant un modèle équitable et professionnel qui tient compte des intérêts de tous les acteurs de la chaîne créative et culturelle». A cet égard, le communiqué précise que l'ANIRA «adressera des mises en demeure officielles à tout établissement audiovisuel qui ne respecte pas les dispositions légales et réglementaires relatives aux droits des créateurs et ne s'engage pas à régulariser sa situation contractuelle vis-à-vis de l'ONDA». Imputant à ces établissements «l'entière responsabilité légale découlant de tout manquement à leurs engagements», l'ANIRA assure qu'elle «appliquera, le cas échéant, les mesures légales appropriées conformément à la législation en vigueur».
  • 10-06-2025
    -Les couvertures médiatiques par les chaînes de télévision de l'événement des épreuves du Brevet d'enseignement moyen (BEM), qui se sont déroulés du 1er au 3 juin, ont été jugées par le gendarme de l'audiovisuel «irresponsables» et «inquiétantes». Une semaine après la fin des examens, l'Autorité nationale indépendante de régulation de l'audiovisuel (ANIRA) a exprimé ses inquiétudes face aux violations des dispositions légales et réglementaires observées dans certaines couvertures médiatiques durant la période des épreuves du Brevet de l'enseignement moyen (BEM). La préoccupation majeure de l'ANIRA est liée à la diffusion de déclarations des mineurs à la sortie des centres d'examen, sondés directement par les journalistes pour avoir leurs impressions à chaud sur les sujets qu'ils ont eu à traiter à leur sortie des centres d'examen et d'autres questions embarrassantes auxquelles les chérubins répondent en toute innocence. Pourtant, les lois sont claires, l'exploitation médiatique des enfants en âge mineur est strictement interdite. Le procédé a été dénoncé par l'ANIRA en tant que violation des règles de déontologie journalistique et à la protection des droits des enfants. Dans un communiqué rendu public, hier mardi 10 juin, le gendarme de l'Audiovisuel a mis en garde les médias lourds contre toute «couverture médiatique susceptible de porter atteinte aux droits des enfants ou de les exposer à des formes de diffamation et d'exploitation, sous prétexte de reportages de terrain». Précisant dans ce cadre que «toute apparition médiatique d'un enfant, notamment dans des sujets sensibles ou susceptibles de porter atteinte à sa dignité, à son identité ou à son intégrité psychologique, doit impérativement faire l'objet d'un consentement écrit, préalable et explicite du représentant légal». L'Autorité a lancé un avertissement à tous les opérateurs audiovisuels contre la poursuite de violations des droits de l'enfant dans leurs reportages, mettant l'accent sur «la nécessité absolue du respect des normes professionnelles et éthiques dans le traitement médiatique des sujets impliquant des mineurs». Pour rappel, l'ANIRA qui n'a pas manqué, ces dernières semaines, de dénoncer les dérapages et la «folklorisation» des contenus médiatiques, a émis plusieurs mises en garde à l'encontre des chaînes TV qui ne respectent pas l'éthique professionnelle, allant jusqu'à suspendre certaines émissions. A la veille de l'examen du baccalauréat, il est utile de mettre les points sur les i, même si les candidats abordent à peine leur majorité.
  • 01-06-2025
    -L'Etablissement public de télévision (EPTV) a lancé un concours pour la sélection de scénarios de séries comiques et dramatique, sitcoms ainsi que des short-program et ce dans le cadre de la mise en œuvre de sa grille de programmes ordinaire et celle du mois de Ramadan 2026, a indiqué un communiqué de l'entreprise. Ouvert aux scénaristes, ce concours concerne les scénarios de séries en arabe et en tamazight (15 épisodes de 15 mn par épisode), de sitcoms en arabe et en tamazight (15 épisodes de 15 mn par épisode) en plus des short-program. Les scénarios proposés doivent être "inédits" et jamais soumis à aucune partie, qu'il ait été accepté ou rejeté, et ce dans le strict respect des modalités et conditions de participation à ce concours.