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Relations internationales (et Activités diplomatiques)
Journée du Lundi 07/10/2025 |
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-Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a reçu, la vice-Première ministre, ministre des Affaires étrangères et européennes de la République de Slovénie, Mme Tanja Fajon, et la délégation l'accompagnant. L'audience s'est déroulée en présence du directeur de cabinet à la présidence de la République, Boualem Boualem, du ministre d'État, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l'étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf, du conseiller auprès du président de la République, chargé des affaires diplomatiques, Amar Abba, et de l'ambassadrice d'Algérie en Slovénie, Mme Sabrina Bey.............................
-Le président de la République, Chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, Abdelmadjid Tebboune, a reçu, le ministre tunisien de la Défense nationale, Khaled Sehili, en présence du ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, Chef d'État-major de l'Armée nationale populaire, le Général d'Armée Saïd Chanegriha, et du directeur de cabinet à la présidence dela République, Boualem Boualem....................................
-Les 11 activistes algériens de la Flottille Sumud encore détenus, arrêtés par l’armée d’occupation israélienne entre le 1er et le 2 octobre dans les eaux internationales, ont été libérés hier matin de la prison de Ketziot, située dans le désert du Néguev, au sud d’Israël.
Le groupe comprend Abdelfattah Chekhnaba, Abdelkader Ammour, Taleb Habib, Mohamed Selmane, Korchi Abderrachid, Mohamed Ben Allouane, Marouane Ben Guettaia, Mehdi Makhloufi, Nasreddine Drissi, Kafsi Abdelkadous et Lamia Mordjani.
Selon l’agence de presse jordanienne Petra, la dernière vague de 131 derniers militants de la Flottille Sumud, engagés dans une mission humanitaire internationale visant à briser le blocus imposé à Ghaza, a été expulsée d’Israël vers la Jordanie par le pont du roi Hussein. Cette opération marque la fin de plusieurs jours de détention et d’interrogatoires menés par les autorités sionistes, ainsi que de fortes inquiétudes quant au sort de certains militants, notamment celui de Marouane Ben Guettaia, que les autorités israéliennes accusaient à tort de liens avec le mouvement Hamas.
Les participants libérés et expulsés ne se limitaient pas à l’Algérie. D’autres provenaient de Tunisie, du Maroc, du Koweït, de Libye, de Bahreïn, d’Oman, de Turquie, du Pakistan et de Jordanie. Les premières expulsions, faut-il le souligner, ont commencé le 4 octobre, avec six ressortissants algériens transférés à Istanbul à bord d’un vol de la compagnie Turkish Airlines en provenance de l’aéroport Ramon d’Eilat, au sud de la Palestine occupée. L’avion avait atterri à Istanbul vers 14h, heure d’Algérie, transportant 137 militants de diverses nationalités. Une seconde vague d’expulsions a eu lieu le 6 octobre, touchant 171 activistes internationaux renvoyés depuis le même aéroport vers la Grèce et la Slovaquie. Ces militants provenaient de 19 pays, parmi lesquels la Grèce, l’Italie, la France, l’Irlande, la Suède, la Pologne, l’Allemagne, la Bulgarie, la Lituanie, l’Autriche, le Luxembourg, la Finlande, le Danemark, la Slovaquie, la Suisse, la Norvège, le Royaume-Uni, la Serbie et les Etats-Unis.
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