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Education (et Formation)

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  • 20-04-2025
    -Le ministre de l’Enseignement et de la Formation professionnels, Yacine El-Mahdi Oualid, a présidé, à Alger, le lancement officiel des premières épreuves de wilaya des Olympiades des Métiers. Ces phases qualificatives, organisées sur une durée de quatre jours à l’échelle nationale, visent à valoriser les compétences des jeunes et à ancrer une véritable culture de l’excellence
  • 17-04-2025
    -Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a présidé, dans la soirée du mercredi 16 avril 2025, une cérémonie solennelle de distinction à la faculté des sciences de l'information et de la communication à Ben Aknoun. Cet événement de haut niveau visait à honorer les enseignants promus au rang de professeur émérite et de professeur hospitalo-universitaire émérite. L’université Kasdi-Merbah s’est distinguée par une présence remarquable à cette cérémonie, notamment en devenant la première université du pays à obtenir la certification internationale ISO 9001 : 2015
  • 12-04-2025
    -Le ministre de l'Education nationale, Mohamed Seghir Saâdaoui, a décidé d'annuler les retenues sur salaires des enseignants affiliés au Conseil national autonome des professeurs de l'Enseignement secondaire et technique (Cnapest) pour les jours liés au boycott de la saisie des notes du deuxième trimestre. Cette décision prend effet à partir du 19 mars 2025, accompagnée de la levée du gel de la prime de rendement, et ce, après l'engagement pris par le Syndicat, lors de la réunion qui a rassemblé les deux parties, d'arrêter le mouvement de protestation et de mettre un terme au boycott de la distribution des bulletins scolaires. Selon le procès-verbal qui a sanctionné la réunion du 27 mars entre le ministère et le Cnapest, à la demande de ce dernier, le ministre de l'Education a affirmé que son département, comme cela a été notifié dans tous les communiqués précédents, «est attaché à honorer ses engagements, qui consiste à veiller durablement et avec fermeté, à poursuivre la démarche de partenariat positif avec l'ensemble des Organisations syndicales, dans le cadre des lois de la République». Le département de Saâdaoui s'engage également «à mettre en œuvre et à gérer le calendrier de discussions des propositions avec les organisations syndicales, en vue de préparer les projets d'amendement du statut particulier, à fixer un délai pour la finalisation amendement en accord avec les organisations syndicales, et à soumettre les propositions finales à inclure dans le projet de loi portant statut particulier des fonctionnaires de l'Education. Au cours de la même réunion, le ministre a assuré que ses services «sont engagés à faire en sorte que le projet d'amendement soit garant de la protection des acquis du corps enseignant, et à œuvrer à leur promotion et à leur amélioration». Les engagements portent également sur «la possibilité d'associer les représentants de la Fonction publique et du ministère des Finances, en cas de besoin, pour apporter les éclaircissements sur les aspects techniques de manière à assurer la réussite du débat sur la loi portant du statut particulier et le régime indemnitaire, et de débattre séparément du dossier des indemnisations et celui du régime indemnitaire». Toujours selon le PV signé entre le ministère de tutelle et le Cnapeste, en application de la décision de l'Assemblée générale du Syndicat de suspendre le mouvement de protestation et le boycott de la remise des bulletins scolaires, et après s'être assuré que tous les enseignants grévistes respectent leurs engagements, le ministère «s'est engagé «à annuler les mesures de retenues sur salaire pour les jours liés au boycott avec effet rétroactif, à partir du 19 mars 2025, et à lever le gel du versement de la prime de rendement».
  • 07-04-2025
    -Les autorités algériennes viennent de décréter l’interdiction formelle de toute aide française destinée aux écoles privées algériennes, aide octroyée dans le cadre du dispositif AFD (aide française au développement). Pour rappel, pour encourager l’enseignement de la langue française en Algérie, la France octroie des aides à des établissements scolaires privés. Selon les chiffres publiés par l’ambassade de France en Algérie, l’aide publique au développement française destinée à l’Algérie s’élevait à 132 millions d’euros en 2022. Sur ce montant, 121 millions d’euros étaient alloués aux ministères de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, principalement pour financer des bourses d’études pour les étudiants algériens en France (qui, à l’issue de leurs études, sont recrutés par les entreprises françaises), tandis que 8,5 millions d’euros étaient destinés à la coopération culturelle et scientifique via l’ambassade de France et l’Institut français d’Algérie. Jusqu’en octobre 2023, certaines écoles privées algériennes dispensaient le programme français, permettant ainsi aux élèves algériens de passer le baccalauréat français via le CNED, organisme d’enseignement à distance. Depuis lors, les écoles privées algériennes sont tenues à se conformer strictement au programme national arrêté par le ministère de l’Éducation nationale algérien. Historiquement, à l’époque coloniale, en Algérie colonisée le français était l’unique langue enseignée dans le système éducatif. À l’indépendance de l’Algérie, l’emprise linguistique et culturelle française perdure durant les deux premières décennies, au cours des années 1960-1970. Cette emprise s’est manifestée par l’imposition dufrançais comme langue d’enseignement et l’exportation de programmes scolaires calqués sur le modèle métropolitain. En dépit de l’arabisation de l’enseignement, la domination de la langue française perdure encore au cours des années suivantes, notamment sous forme de coopération éducative, en particulier parmi les élites algériennes francophones et francophiles qui inscrivent massivement leurs progénitures dans les écoles privées dispensant un enseignement en français. Depuis l’indépendance, les écoles françaises, l’attribution de bourses et le financement d’institutions culturelles ont constitué les leviers principaux de cette influence postcoloniale que l’Algérie a commencé, ces dernières années, d’abord à limiter, puis à supprimer de son paysage éducatif et culturel. Cela étant, la récente mesure d’interdiction de toute aide française aux écoles privées algériennes s’inscrit dans un contexte plus large de redéfinition de la politique éducative algérienne et de distanciation progressive vis-à-vis de l’ancienne puissance coloniale.
  • 03-04-2025
    -Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a ordonné aux présidents des établissements universitaires de poursuivre la mise en œuvre de leurs programmes visant à renforcer la formation en langue anglaise. Le ministère a insisté sur le fait que chaque établissement universitaire doit déposer son plan pour améliorer le niveau de formation dans cette langue pour la prochaine année universitaire, avant le 17 avril courant. Il a également adressé une instruction spéciale aux doyens des facultés de médecine concernant les mêmes ordres, étant donné que toutes les matières scientifiques de la formation en sciences médicales de la première année seront en anglais au cours de la nouvelle année universitaire 2025/2026. Dans une instruction récente adressée aux doyens des facultés de médecine, il est indiqué que pour s’engager dans la dynamique relative à l’enseignement en anglais, les facultés de médecine à travers le pays sont appelées à aller de l’avant pour assurer l’enseignement dans cette langue, selon une approche progressive qui correspond au nombre d’enseignants qui ont bénéficié de la formation, et qui ont atteint les niveaux « B2 » et « C1 » pour couvrir toutes les matières éducatives prévues en première année de sciences médicales (médecine, médecine dentaire, pharmacie), et ce pour l’année universitaire 2025/2026. Parallèlement, il est nécessaire de veiller et de suivre la formation des enseignants en prévision de la couverture de toutes les matières éducatives.