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31-12-2022
-L'Office national du pèlerinage et de la Omra (ONPO) a annoncé l'ouverture des candidatures pour les agences de tourisme et de voyages désirant participer à l'organisation de la prochaine saison du hadj, a indiqué samedi, un communiqué de l'Office. "Les agences désirant présenter leurs candidatures pour participer à l'organisation de la prochaine saison du hadj peuvent désormais s'inscrire et retirer le cahier des charges relatif à l'opération via le portail national du hadj à partir du 31 décembre 2022", ajoute le communiqué. Le dépôt des dossiers de candidatures se fait auprès des services de l'ONPO du 2 au 10 janvier 2023, précise le document.
30-12-2022
-Le 5ème Festival national de la production théâtrale d’Annaba, dédié cette année à la comédienne Sonia, a été clôturé le mercredi 30 décembre au Théâtre régional Azzeddine Medjoubi d’Annaba. Le festival, qui a repris après sept ans de rupture et qui a duré quatre jours, entre le 27 et le 30 novembre 2022, a été marqué par la participation de six pièces. Le jury, présidé par l’écrivain Driss Boudiba, a accordé huit prix portant le nom de la comédienne Keltoum et a décidé de ne pas attribuer la distinction pour la meilleure chorégraphie. La pièce « Chadjarat al mawz » (le bananier) de Shahinez Neghouache a décroché le grand prix. Une pièce produite par le théâtre régional de Skikda.Souad Djenati a décroché le prix de la meilleure interprétation pour son rôle dans le monodrame « Mira » produit par la troupe Mosaïque de Sidi Bel Abbès. Le metteur en scène de ce spectacle, Hicham Boussahla, époux de Souad Djenati, a obtenu le prix de la meilleure mise en scène. Redouane Boukachabya a, lui, obtenu le prix de la meilleure interprétation masculine pour ses rôles dans la pièce El Djabbana (le cimetière) de l’association Moubdioun bila houdoud d’Annaba. Ce spectacle a été mis en scène par Atef Krim qui est également comédien.Le prix Keltoum du meilleur texte original est revenu à Asma Ben Ahmed et à Balkis Boukeloua, pour le spectacle Dhat (soi), produit par l’association Baraïm el thakafa de Skikda. Le prix de la meilleure scénographie a été attribué à Souad Djanati pour le spectacle Mira. La jeune Noussaiba Attout de Sétif a obtenu le prix du jury pour son rôle dans le monodrame « Koumaicha », mis en scène par Toufik Mezaache. La musique composée par Ferhat Kaci de la troupe Ithran de Bouira a été récompensée par le jury par le prix de la meilleure composition originale pour la pièce « Tin Akken », présentée en tamazight. Note : « Chadjarat al mawz » (le bananier) de Shahinez Neghouache a décroché le grand prix Keltoum du 5ème Festival national de la production théâtrale d’Annaba. La pièce est un réquisitoire contre « la domination » parentale qui laisse peu de place à la liberté des enfants. Produite par le théâtre régional de Skikda, « Chadjarat al mawz » est librement inspirée de « La nuit des assassins » du dramaturge et poète cubain José Triana. Deux frères et une soeur, interprétés par Oussama Boudechiche, Aymen Benahmed et Yahia Kouaidia, jouent à chaque fois « à l’assassinat » symbolique de leurs parents, jugés oppresseurs. Des parents qui les empêchent de s’exprimer, d’évoluer en dehors de leur cercle, de respirer…
25-12-2022
-Le dernier né du réalisateur Rachid Bouchareb "Nos frangins" et le blockbuster de science-fiction "Avatar : La voie de l'eau", suite très attendue du film de 2009 sont au programme de plusieurs salles à Alger, Oran et Constantine jusqu'à la fin du mois de janvier 2023. Projeté en avant-première algérienne lors du dernier Festival international du cinéma d'Alger (Fiça), "Nos frangins", qui revient sur le drame du jeune étudiant Malik Oussekine, tué par la police française lors d'une manifestation en 1986, est actuellement à l'affiche des salles de l'Office Ryadh El Feth, Sahel et Ibn Khaldoun à Alger, au multiplexe Ciné gold à Oran est à la salle Ahmed-Bey à Constantine. Enregistrant l'une des meilleures entrées au box-office depuis la pandémie de Covid-19, "Avatar 2", film de science-fiction américain réalisé par James Cameron, est également à l'affiche, et en version 3D au multiplexe Ciné gold à Oran. Pour les vacances d'hiver, ces salles proposent aussi un programme pour enfant avec à l'affiche, "Le chat potté 2" de Joel Crawford, sorti le 21 décembre aux Etats-Unis, "Enzo le Croco" de Will Speck et Josh Gordon, sorti en octobre dernier, et "Le royaume des étoiles". Sont également à l'affiche depuis vendredi, le film d'épouvante "Megan" et le biopic musical "I Wanna Dance With Somebody" sur la vie de la star américaine Whitney Houston, disparue en 2012.
19-12-2022
- Trois (3) nouveaux sites archéologiques datant de l'époque romaine ont été récemment découverts dans la wilaya de Chlef, a-t-on appris, ce lundi, de la Direction de la culture et des arts. Il s’agit, a-t-il ajouté, des sites El-Hassi, la carrière romaine et Rokba El Hamra, situés respectivement dans les localités de Labiod Medjadja, Boukadir et Oued Fodda, tous découverts grâce à des signalements de citoyens, en coordination avec les autorités locales.
15-12-2022
-Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune a reçu, jeudi, des participants au Colloque international sur "l'Imam Mohamed Ben Abdelkrim Al Maghili: Gouvernance, unité et stabilité des sociétés africaines", organisé à Alger les 12 et 13 décembre. Il s'agit de l'Emir de Kano, Aminu Ado Bayero, du président de Usman Bauchi Foundation, Ibrahim Tahir Bauchi (Nigéria), du Calife de la confrérie Tidjanie de la région de Djenaba (Sénégal), Chiekh Serine Hassen Sik, du président de la Maison du Coran "Meriem Niass", Omar Tidjani, du Sultan d'Agadez, Ibrahim Oumarou (Niger), du président de l'Association de l'Imam Ben Abdelkrim Al Maghili et son petit fils, M. Ibrahim Saidan, du Cheikh Karib Allah Nasser Kabar, chef de la confrérie Kadiria au Nigéria et en Afrique de l'Ouest ainsi que le petit fils de l'Imam Al- Maghili, Abdelkarim Sherif Ali Sherif, président d'Al Maghili Foundation. L'audience, qui a eu lieu au siège de la Présidence de la République, s'est déroulée en présence du ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Youcef Belmehdi et du chargé de mission auprès de la Présidence de la République, Hassouni Mohamed....................................... -.La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a annoncé ce jeudi à Alger la création, au cours des trois prochaines années, de 52 bibliothèques publiques pour un montant de 1,5 milliard de DA, permettant de générer 1.050 nouveaux postes d'emploi. Répondant à une question du membre du Conseil de la nation, Mohamed Rabah du parti du Front de libération nationale (FLN), sur les mesures prises pour achever le programme des bibliothèques publiques de lecture au niveau national, Mme Mouloudji a précisé que le ministère de la Culture "n'a ménagé aucun effort pour mettre en place un réseau de bibliothèques publiques qui couvre l'ensemble du territoire national". Elle a également fait état de l'acquisition, au titre de l'année en cours, de "248.104 exemplaires au profit de plus de 40 wilayas", et de "la distribution de 272.776 livres à travers les dix wilayas nouvellement créées", en application du programme du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune qui veille à généraliser l'action culturelle et à promouvoir la lecture dans toutes les régions du pays. Par ailleurs, la ministre a annoncé l'organisation, à Adrar, de "la 2e session de formation nationale au profit de 23 bibliothèques principales de lecture publique afin d'accélérer les opération de mise en réseau numérique et technologique fin janvier prochain", en sus des " des assises nationales sur le livre et l'édition les 28 et 29 décembre en cours, avec la participation des différents secteurs ministériels concernés et des acteurs du domaine de l'édition, du livre et de la lecture".
14-12-2022
-Le long métrage "Ben M'hidi", dédié à la vie et au parcours du martyr de la guerre de libération nationale Larbi Ben M'hidi, a reçu, mercredi à Alger, l'approbation de la commission mixte, mise en place par les ministères de la Culture et des Arts et celui des Moudjahidine et des Ayants-droits, après la levée de toutes les réserves exprimées sur ce film, indique un communiqué du ministère de la Culture et des Arts. Les ministres de la Culture et des Arts Soraya Mouloudji et des Moudjahidine et des Ayants-droits Laïd Rebiga, ont reçu chacun une copie du film, en présence de son réalisateur Bachir Derrais. Sur un scénario écrit par Mourad Bourboune et basé sur de nombreux témoignages de compagnons de Larbi Ben M'hidi et de sa famille, ce long métrage adapté au cinéma par Abdelkrim Bahloul, a été tourné à Alger, Lakhdaria, Biskra, Bechar, Bejaia et Tlemcen. 30% du tournage a été effectué dans des studios en Tunisie où l`équipe du film a reconstitué les décors des années 1940. Avec un budget de près de 520 millions DA, débloqué à parts égales par les ministères de la Culture et des Moudjahidine, ce projet a également bénéficié de financements accordés par des opérateurs économiques algériens "publics et privés". Khaled Benaissa (dans le rôle de Larbi Ben M'hidi), Nabil Asli et Idir Benaybouche, parmi d'autres acteurs, sont distribués dans ce film dont la production exécutive a été confiée à la société algérienne "Les films de la source".
12-12-2022
-Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a mis en avant, ce lundi à Alger, les qualités de l'Imam Mohamed Ben Abdelkrim Al Maghili, "une éminente personnalité scientifique qui a laissé pour legs la vertu, et une inclination au bien et à la sagesse", et l'auteur d'un projet réformateur intégré visant à consacrer le juste milieu et à préserver la stabilité et la sécurité sociale. Dans un message aux participants au colloque international d'Alger sur "l'Imam Mohamed Ben Abdelkrim Al Maghili : gouvernance, unité et stabilité des sociétés africaines", lu en son nom par le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, M. Youcef Belmehdi, le Président Tebboune a rappelé le parcours de l'Imam Al Maghili, entamé par une formation scientifique auprès d'une pléiade d'éminents érudits algériens à l'ère des Zianides, dont l'érudit algérien Cheikh Sidi Abderrahmane El Thaalabi, et l'Imam de Tlemcen Sidi Mohamed Ben Youcef El Senouci, et d'autres illustres noms, avant de poursuivre la voie du bien en surpassant toutes les difficultés et les épreuves. Les efforts de l'Imam Al Maghili ont été couronnés par "la diffusion des préceptes de l'islam dans le continent africain. Grâce à lui et à ses pairs parmi les érudits à l'instar du Cheikh Sidi Ahmed El Tidjani, Sidi Abderrahmane El Akhdari et bien d'autres, l'islam s'est propagé dans de vastes contrées du continent africain, à l'exemple du Mali, du Niger, du Tchad et d'autres régions".
11-12-2022
-Une exposition regroupant une quarantaine de reproductions d’œuvres plastiques d’Edouard Verschaffelt, peintre belge, arrivé en Algérie en 1919 pour ne plus quitter ce pays où il a vécu jusqu'à son décès en 1955, a été inauguré ce dimanche soir à Alger. Visible jusqu’au 21 décembre au Palais de la Culture Moufdi-Zakaria, cette rétrospective sur l’œuvre prolifique d’Edouard Verschaffelt a été ouverte par l’ambassadeur du Royaume de Belgique, Alain Leroy, en présence du conseiller auprès du président de la République, chargé de la Culture et de l’Audiovisuel, Ahmed Rachedi. Dédiée à la mémoire du peintre Edouard Verschaffelt, qui a "développé un profond attachement pour l’Algérie, avec une fascination particulière pour la ville de Boussaâda", cette exposition est conjointement organisée, par le ministère de la Culture et des Arts et l’ambassade du Royaume de Belgique en Algérie, en collaboration avec la Galerie Le Paon, à l’occasion des "60 ans de l’établissement des relations diplomatiques entre la Belgique et l'Algérie". Représentant par ses toiles, de magnifiques témoignages des traditions et du patrimoine de Boussaâda, Edouard Verschaffelt va peindre l’Algérie dans un style qui se démarque de l’exotisme orientaliste de l’époque. Situations de vie paysanne, personnages aux regards innocents, natures aux climats printaniers, cavaleries, ou encore, œuvres picturales pastorales entre autres, l’exposition présente des tableaux qui restituent les "liens de cœur" de l’artiste à la terre d’Algérie. Les peintures intimistes familiales et les portraits d’Edouard Verschaffelt, dont de nombreux illustrant sa femme et sa fille, sont présents dans plusieurs collections privées et des Musées, notamment en Algérie, en Belgique et en France. L’exposition est accompagnée d’un livret de présentation qui s’ouvre sur le propos de la ministre de la Culture et des Arts Soraya Mouloudji, qui a rappelé qu’"aux côtés d’autres maîtres belges de renom (...), Edouard Verschaffelt occupait une place particulière dans les collections institutionnelles algériennes qui conservent ses œuvres". Né en 1874, Edouard Verschaffelt est diplômé des Ecoles des beaux Arts de Gang et d’Anvers, où il se fera connaître pour ses talents de portraitiste. Affilié à la tradition de peinture flamande et au mouvement artistique du luminisme et post impressionnisme belge, ses influences se retrouvent dans l’ensemble de son œuvre. En 1919, Edouard Verschaffelt s’établit en Algérie avec son épouse, après avoir quitté la Belgique meurtrie par la première guerre mondiale. Après le décès de sa première épouse, il se marie avec une Algérienne, avec qui il aura deux enfants, dont Samia Madeleine, présente lors de ce vernissage. Edouard Verschaffelt s’est éteint en 1955 à Boussâada.
07-12-2022
-En Afrique, seulement 35,2% des pays offrent un soutien financier aux réalisateurs. L’information est fournie par l’Unesco dans son rapport sur l’industrie du film en Afrique. Au nombre des principaux problèmes du 7e art continental, l’étude a longuement insisté sur le manque de financements gouvernementaux africains. « Selon nos recherches, seuls 19 pays sur 54 (35,2 %) proposent un soutien financier aux réalisateurs, le plus souvent sous forme de bourses ou de subventions. Les autres mécanismes de soutien, comme l’allégement de l’impôt sur le revenu, les exonérations de droits de douane sur l’équipement cinématographique, les crédits bonifiés, les garanties financières, les crédits d’impôt pour entreprises qui investissent dans des films, voire les quotas pour la diffusion de contenus locaux, restent l’exception plutôt que la norme », informe l’étude. Le problème avec le manque de financement des gouvernements est que le besoin d’investissement est, bien des fois, comblé par des gouvernements ou des organisations étrangères qui peuvent imposer des critères modifiant l’authenticité du film. « Il y a toujours une forme de censure qui s’impose de la part des canaux de diffusion qui impliquent certaines formes précises. Ces règles-là amènent, par conséquent, le cinéaste à formater ses dires et sa façon de dire. Le vrai travail d’un artiste, qu’il soit un musicien, un cinéaste… est de trouver la forme adéquate à son discours. C’est ça, en fait, la difficulté et le combat pour le cinéaste, celui de réussir à financer son film sans tordre son discours », explique le réalisateur franco-sénégalais Alain Gomis dans une interview accordée au média marocain l’Opinion. Le financement étranger des films africains pose également un autre problème essentiel : le rapatriement des revenus générés vers le pays source de l’investissement. A noter que L’Afrique perd au moins 50% du chiffre d’affaires de son cinéma à cause du piratage. L’information est fournie par l’Unesco dans son étude « L’industrie du film en Afrique », publiée en 2021. « Deux tiers des pays ayant pris part à la consultation menée dans le cadre de ce rapport estiment qu’au moins 50 % du chiffre d’affaires potentiel du secteur est perdu en raison de l’exploitation illégale des contenus audiovisuels créatifs, ce qui décourage souvent les investissements structurés », informe l’étude. La situation est commune à tous les marchés cinématographiques mondiaux même si en Occident le piratage, notamment grâce au téléchargement illégal est combattu par les régulateurs. En Afrique, les dynamiques du piratage sont différentes. Au Nigeria, par exemple, les pirates ont vendu pendant longtemps des films obtenus illégalement et copiés sur des supports CD. Pour lutter contre les différentes spécificités du piratage en Afrique, chaque pays du continent doit proposer des solutions spécifiques à sa situation sur le plan réglementaire. Seulement, toujours selon le rapport de l’Unesco, « seuls 44 % des pays disposent d’une commission du film et 55 % d’une politique cinématographique. Lorsqu’elles existent, les règles sont parfois perçues comme des obstacles plutôt que des soutiens. Le piratage reste effréné ». Alors que l’investissement et la formation sont souvent mis en avant comme lacunes du cinéma africain, le manque de réglementation est également un des obstacles aux progrès du cinéma africain.
04-12-2022
-Le nombre de Mourchidate (guides religieuses) en Algérie est passé de 200 en 2002 à plus de 1.500 actuellement, a indiqué ce dimanche à Blida, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Youcef Belmehdi. Procédant à l’ouverture de la 1ére conférence nationale des mourchidate sous le thème « L’orientation religieuse féminine : missions et défis », le ministre a souligné une hausse du nombre des mourchidate, en Algérie, depuis la création de cette fonction en 2002. Le chiffre étant passé de 200 à plus de 1.500 mourchida depuis, a-t-il fait savoir, prévoyant « une augmentation de ce chiffre à l’avenir ». Le secteur des affaires religieuses compte 14 instituts de formation des imams et des cadres religieux, en plus d’une Ecole nationale relevant de son département, selon M. Belmehdi qui a annoncé que des préparatifs sont en cours en vue du lancement de la réalisation, au Niger, d’un nouvel institut spécialisé dans la formation des imams et des cadres religieux, également dédié à la formation de guides religieuses (mourchidate), et dont l’encadrement sera assuré par des enseignantes algériennes spécialisées dans l’orientation religieuse.
03-12-2022
-Les attaques fréquentes visant la statue ornant la fontaine de Aïn Fouara au centre-ville de Sétif méritent bien une explication sociale et culturelle afin d'épargner ce vestige culturel des actes de vandalisme incessants. Dans la soirée du vendredi, un individu d'une vingtaine d'années s'est servi d'un objet qu'il portait dans la main, une pierre selon toute vraisemblance, et a entamé la destruction de la statue de Aïn Fouara. La scène de cet individu qui a vandalisé la statue a été filmée par des citoyens, qui ont posté la vidéo sur les réseaux sociaux, provoquant une indignation d'internautes. Fort heureusement, il a été rapidement maîtrisé par un homme qui l'a empêché de continuer sa sale besogne. Dans une déclaration faite à l'APS, le directeur de la culture et des arts de Sétif, Oualid Benbrik a fait part que l'auteur de ces actes de destruction a été arrêté par les agents de la sûreté urbaine. Sans donner les motivations qui l'ont poussé à commettre un tel acte. La statue de la fontaine de Aïn Fouara, halte traditionnelle des visiteurs de la ville de Sétif et étape obligée des touristes, a fait l'objet, à plusieurs reprises, d'actes de vandalisme en 1997, en 2006 et en 2017, nécessitant lors de cette dernière destruction, la plus médiatisée grâce aux réseaux sociaux, des travaux de restauration qui ont duré sept mois. Certains appellent à placer cette statue au musée et lui éviter tout acte de vandalisme, mais d'autres considèrent que ce monument est lié à l'histoire et à la culture de la ville, et doit rester à sa place, au centre-ville, surplombant la célèbre Aïn Fouara. Selon d'autres avis, il est impératif de mettre cette statue sous surveillance vidéo, directement reliée au commissariat le plus proche, afin de permettre aux services de sécurité d'agir rapidement dans le cas d'une nouvelle tentative de destruction la visant. Réalisée par le sculpteur français d'origine italienne Francis de Saint-Vidal, il y a plus 120 années, la statue de Aïn Fouara qui représente une femme juchée sur un piédestal en forme de rocher, haut de 2 mètres, d'où jaillit une eau pure, avait été classée propriété culturelle nationale en 1999.
02-12-2022
- La célèbre statue en marbre de Ain Fouara a été nouvelle fois vandalisée par un individu ivre cette fois, dans la soirée à Sétif. La scène a été filmée par des passants qui ont filmé l’individu en train de détruite la statuette à coups de marteau. Trés vite l’homme a été maitrisé. Il y a quatre ans, un islamiste avait partiellement détruit la statuette à coup de marteau. L’homme qu’on a surnommé « bou marteau » a été condamné par la justice et accusé de troubles mentaux...................................................................... - Le 11ème Festival international du cinéma d’Alger (FICA) est de retour après deux ans d’arrêt en raison de la pandémie de Covid-19. Une soixantaine de films sont prévus du 2 au 10 décembre 2020. Vingt cinq films sont en compétition. Soraya Mouloudji, ministre de la Culture et des Arts, a évoqué, lors de la cérémonie d’ouverture, vendredi 2 novembre à la salle Ibn Zeydoun, à l’office Riad El Feth, « la volonté de l’Etat d’oeuvrer à hisser le septième art au niveau espéré à une époque où la concurrence technologique est rude et les développements dans les domaines de l’audiovisuel sont accélérés ». Elle a annoncé que le ministère a mis en place « une stratégie cohérente » pour développer l’art cinématographique en Algérie.
01-12-2022
-La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, s'est félicitée, ce jeudi, de l'inscription par l'Unesco du Raï, "Chant populaire algérien", sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité, considérant cette consécration comme "un acte décisif de reconnaissance par le monde à l'endroit de ce genre culturel, artistique, poétique, musical et chorégraphique". S'exprimant par Visio-conférence lors de la 17e session du Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, qui se tient à Rabat jusqu'au 3 décembre, la ministre a présenté "au nom de l'Algérie, du Président de la République, Monsieur Abdelmadjid Tebboune, du gouvernement et du peuple algérien, tous ses remerciements à l'Unesco pour cette inscription du Raï, chant populaire d'Algérie, sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité". Elle a également présenté les vifs remerciements de l'Algérie au "Comité inter-gouvernemental, ainsi qu'à l'Organe d'évaluation pour leur expertise rigoureuse, juste et objective, ayant conduit à cette reconnaissance internationale", exprimant aussi la reconnaissance de l'Algérie aux Etats qui ont soutenu cette candidature, ainsi qu'au Secrétaire à la Convention, pour tous les efforts et le travail accomplis dans l'échange, l'écoute, l'accompagnement et l'inclusion". L'inscription du Raï, chant populaire d'Algérie, "constitue pour mon pays un acte décisif de reconnaissance par le monde à l'endroit de ce genre culturel, artistique, poétique, musical et chorégraphique qui se donne à voir, à comprendre et à apprécier comme un message de partage, d'amitié, d'amour, et de paix, (...) offert au monde et à l'humanité", poursuit la ministre. La ministre a, par ailleurs, réitéré "l'engagement de l'Algérie en faveur de tout ce que l'Unesco entreprend pour la Culture, le Patrimoine culturel et les Arts", soulignant que "l'Algérie accueille avec fierté et honneur le Centre de catégorie 2, dédié au patrimoine culturel immatériel de tout le continent africain, auquel nous continuerons d'assurer tous les moyens nécessaires à son déploiement". ..................................... -En Afrique, la gastronomie est l’une des plus riches et diversifiées au monde. Dans toutes les sous-régions du continent, les produits locaux ainsi que les savoir-faire sont de plus en plus reconnus à l’échelle mondiale. En Tunisie, la harissa, purée de piment rouge frais, a rejoint ce jeudi, la liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO grâce à un vote au sein de l’instance onusienne basée à Paris. Symbole de la gastronomie du pays du Jasmin, la harissa est fabriquée à partir de piments de la variété Capsicum annuum qui sont séchés au soleil avant d’être «?égrenés, lavés, assaisonnés avec du sel, de l’ail et de la coriandre et broyés dans un mortier pilon ou dans un hachoir à viande manuel?». En ajoutant ce produit omniprésent dans les repas tunisiens à son catalogue, le Comité du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO présidé par le Maroc cette année met ainsi en valeur le savoir-faire, les connaissances artisanales et les pratiques sociales autour de sa fabrication. «?Faisant partie intégrante des provisions domestiques et des traditions culinaires et alimentaires quotidiennes de toute la société tunisienne, la harissa est préparée, le plus souvent, par les femmes dans un cadre familial ou vicinal convivial, à caractère festif, marqué par une entraide communautaire remarquable. Elle est perçue comme un élément identitaire du patrimoine culinaire national, et un facteur de cohésion sociale?», explique le dossier de candidature, selon les autorités tunisiennes. Avec cette inscription, la harissa rejoint la baguette française inscrite le mercredi dernier et aussi d’autres comme le plat national sénégalais «?Thiéboudiène?» (Ceebu jën en wolof) qui a fait son entrée dans la liste en décembre 2021, le couscous du Maghreb, la pizza napolitaine ou encore le nsima, plat à base de farine de maïs du Malawi.
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