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Culture (et Religion)

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  • 31-07-2025
    -Le tribunal de Sétif a condamné, en comparution immédiate, le destructeur de la statue d’Aïn El Fouara (R.W.) à dix ans de prison ferme. Le verdict comprend également une amende de 50 millions de centimes et des dommages et intérêts de 300 millions de centimes à verser à l’Office national de gestion et d’exploitation des biens culturels protégés, rapportent plusieurs médias algériens. Rappelons que le condamné avait déjà vandalisé la statue en 2018. Il a récidivé mardi dernier en endommageant le visage de ce monument historique situé au cœur de la ville de Sétif.
  • 30-07-2025
    -La statue de Aïn Fouara, ce symbole de beauté et de résilience qui a vu naître des générations de Sétifiens, a été vandalisée pour la énième fois. L'auteur de cet acte ignoble ? Un individu en état d'ébriété avancé qui a cru pouvoir s'en prendre impunément à cette œuvre d'art qui représente la quintessence de la culture et de l'histoire de la ville. Cet acte de vandalisme est un coup de poignard dans le cœur de tous ceux qui aiment et respectent l'art et la culture. Mardi soir, un individu en état d'ébriété avancé a défiguré le visage de l'œuvre d'art, marquant la quatrième attaque de ce type en quelques années. Les forces de l'ordre ont rapidement interpellé l'agresseur, déjà connu pour avoir commis des actes similaires par le passé. Cette statue, œuvre de Francis de Saint-Vidal, est plus qu'une simple œuvre d'art. Elle est l'incarnation de l'esprit de la ville, de sa beauté, de sa résilience et de sa capacité à inspirer les générations futures. Elle est un symbole de la force et de la détermination des Sétifiens, qui ont toujours su faire face aux défis et aux épreuves avec courage et dignité. Il est inadmissible que dans une société qui se targue d'être civilisée, des individus puissent s'en prendre ainsi à des symboles de notre patrimoine culturel. Il est temps de prendre des mesures concrètes pour protéger notre patrimoine culturel et artistique. Malheureusement, elle a été massacrée à plusieurs reprises au fil des ans, notamment en 1997 lors de l'attentat de la décennie noire, en 2006 avec un vandalisme au marteau, en 2017 avec la destruction du visage et de la poitrine, en 2022 avec une dégradation de la statue, et tout récemment, il y a à peine 48 heures avec une nouvelle vague de vandalisme. Ces derniers soulèvent des questions fondamentales sur la tolérance et le respect de la diversité culturelle dans la société algérienne. Comment expliquer que, malgré les efforts des autorités pour protéger ce patrimoine, des individus continuent à s'en prendre à cette œuvre d'art ? La statue de Aïn Fouara est un trésor culturel qui appartient à tous les Algériens. Il est de notre devoir de la protéger et de la préserver pour les générations futures. Il est essentiel de prendre des mesures pour protéger ce patrimoine et sensibiliser la population à l'importance de la préservation de l'art et de la culture. Les autorités et les citoyens doivent travailler ensemble pour créer un environnement qui valorise la beauté et la diversité, et qui rejette la violence et la destruction. La ville de Sétif ne sera pas intimidée par ces actes de vandalisme. Elle continuera à célébrer sa culture et son patrimoine, et à promouvoir la beauté et la richesse de son histoire. La statue de Aïn Fouara restera un symbole de la résilience et de la détermination des Sétifiens, et continuera à inspirer les générations futures.
  • 28-07-2025
    -Le moudjahid, illustre écrivain et romancier Rachid Boudjedra a affirmé, ce lundi, que les écrivains glorifiant le colonialisme, qu’il a qualifiés d'"idéologues" et d'"opportunistes", ne constituent qu’un "phénomène conjoncturel voué à disparaitre", appelant les intellectuels algériens à leur livrer une "guerre de plume". Dans un entretien diffusé par la Télévision algérienne, consacré à son nouveau livre "Les Contrebandiers de l’Histoire" dans sa version révisée, publiée par la maison d’édition, d’impression et de traduction Dar El Hikma, Rachid Boudjedra a dit que la réédition de cet ouvrage, paru il y a 7 ans, visait à "mettre en lumière les vérités et alerter le peuple algérien sur l’entreprise méthodique de falsification de son histoire glorieuse menée par certains écrivains (...), qui ont dénaturé l’histoire de la nation, afin de s’enrichir, de gagner en notoriété et de s’attirer les faveurs de l’ancien colonisateur". Le romancier a qualifié ces écrivains, à l’instar de Boualem Sansal et Kamel Daoud, "d’idéologues et d’opportunistes souffrant du +complexe du colonisateur+, ainsi que l’a défini l’écrivain Frantz Fanon, car ils perçoivent le colonisateur comme leur maître". Pour lui, ces auteurs présentent des "troubles psychologiques, un état d’aliénation et une rupture totale avec la pensée et l’esprit algériens ainsi qu’avec l’Algérie en tant que pays". A propos de Kamel Daoud, le romancier Boudjedra l’a décrit comme "un écrivain ordinaire qui, dans ses chroniques journalistiques, insultait les Algériens, glorifiait le colonialisme et allait jusqu’à dénigrer la Révolution algérienne". Boualem Sansal, pour sa part, a été qualifié par le romancier de "bouffon et de malade mental, avançant des allégations infondées et véhiculant une thèse dangereuse", du fait notamment de "ses liens étroits avec l’extrême droite française". Boudjedra a souligné que le sort de "ces écrivains stipendiés" sera "l'oubli". "Ils ne sont qu’un phénomène conjoncturel voué à disparaître, et dans quelques années, la société française, elle-même, les aura relégués aux marges de l’histoire", a-t-il dit. Après avoir affirmé que "les laudateurs du colonialisme bénéficient du soutien et de l’appui de lobbies sionistes en Europe", l’écrivain a relevé que "le colonialisme ne change pas et que le colonisateur tente de maintenir des relations rétrogrades avec certains milieux des anciennes colonies". Ainsi, Boudjedra a appelé les intellectuels algériens à se ranger du côté de leur pays et à livrer à ces écrivains une "guerre de plume" et une "offensive culturelle" pour réfuter toutes leurs allégations. Rachid Boudjedra a également mis en avant l’importance de revoir la manière dont les questions liées à l’histoire et à la Mémoire nationale sont abordées dans les écoles et les universités algériennes, afin de faire face à toute tentative de falsification de l’histoire................................................. --Décret exécutif n° 25-196 du 17 Moharram 1447 correspondant au 13 juillet 2025 portant réorganisation du centre national de la cinématographie et de l’audiovisuel et changement de sa dénomination.Extrait : Article 1er. — Le présent décret a pour objet la réorganisation du centre national de la cinématographie et de l’audiovisuel, par abréviation « CNCA », créé par le décret n° 88-08 du 26 janvier 1988, modifié, portant création du centre de diffusion cinématographique et changement de sa dénomination en « centre national du cinéma », ci-après désigné le « centre ».........Et, Décret exécutif n° 25-197 du 17 Moharram 1447 correspondant au 13 juillet 2025 fixant la composition, les missions et les modalités de fonctionnement de la commission de visionnage des films. Extrait : Art. 2. — La commission est composée de neuf (9) membres, comme suit : — sept (7) membres, dont le président, choisis par le ministre chargé de la culture parmi les professionnels de l’industrie cinématographique, les experts et les personnalités reconnus pour leur compétence dans le domaine de la cinématographie, de l’histoire, des arts et des lettres ; — un représentant de la direction centrale chargée du cinéma au ministère chargé de la culture ; — un représentant du centre national du cinéma. ............................Et, Décret exécutif n° 25-199 du 17 Moharram 1447 correspondant au 13 juillet 2025 définissant les modalités de création et de gestion des coopératives artistiques. ...............................Et, Décret exécutif n° 25-198 du 17 Moharram 1447 correspondant au 13 juillet 2025 fixant la composition, les missions et le fonctionnement de l’organisme de médiation, de l’éthique et de la déontologie de l’activité cinématographique. (Joradp n°49 du 28 juillet 2025)
  • 24-07-2025
    -Le président Abdelmadjid Tebboune a clôturé sa visite officielle en Italie par une visite au pape Léon XIV au Vatican. Le président de la République est de retour au pays cet après-midi. Le président de la République Abdelmadjid Tebboune s’est rendu ce jeudi à la Cité du Vatican pour une rencontre avec le pape Léon XIV. Cette visite s’inscrit dans le cadre des relations diplomatiques entre l’Algérie et le Saint-Siège. À son arrivée dans la plus petite cité-État du monde, le président Tebboune a été accueilli selon le protocole Vatican par le Régent de la Maison pontificale, marquant ainsi l’importance protocolaire accordée à cette visite. Cette rencontre au sommet revêt une importance particulière dans le contexte des relations entre le monde musulman et chrétien, l’Algérie étant un pays majoritairement musulman. Elle témoigne également de la volonté de dialogue interreligieux promue par le Vatican et de l’engagement diplomatique de l’Algérie sur la scène internationale. Reçu par le Pape, Tebboune aura clôturé sa visite officielle en Italie de deux jours. Il est de retour au pays cet après-midi.
  • 22-07-2025
    -Loi n° 25-06 du 23 Moharram 1447 correspondant au 19 juillet 2025 relative aux wakfs (JOradp n°47 du 22 juillet 2025) .Extraits: Art. 5. — Le wakf comporte trois (3) types, régis par les dispositions de la présente loi, qui sont : — les biens wakfs publics ; — les biens wakfs privés ; — les biens wakfs communs. Art. 8. — Au sens de la présente loi, il est entendu par ce qui suit : Wakf : est l’acte par lequel l’appropriation d’un bien wakf est gelée à titre perpétuel ou temporaire. Son usufruit est attribué à des œuvres de bienfaisance publiques, privées ou communes. Le wakf est un acte de donation exécutoire issu de la volonté individuelle, libre, exempte de vice du constituant adulte et pleinement capable. ......................................................................... --Un arrêté interministériel fixant l'organisation interne de l’Institut national supérieur du cinéma, a été publié au Journal officiel (n° 47 du 22 juillet 2025). L'arrêté, signé par le ministre de la Culture et des Arts, Zouhir Ballalou, le ministre des Finances, Abdelkrim Bouzred, pour le Premier ministre et par délégation, le chargé de la gestion de la direction générale de la fonction publique et de la réforme administrative, Abdelouahab Laouici, stipule dans son article 2 que l’organisation interne de l’Institut national supérieur du cinéma, comprend deux sous-directions, une pour les affaires pédagogiques et l'autre pour l'administration des moyens et des finances. La sous-direction des affaires pédagogiques est composée de quatre départements dédiés à la formation, la production, la réalisation du scénario ainsi que le son et l'image, précise l'article 3. La sous-direction de l'administration des moyens et des finances comprend, à son tour, trois services dédiés aux moyens généraux, la maintenance et la sécurité, le personnel et la formation ainsi que la comptabilité et les finances, selon l'article 4. Inauguré officiellement en octobre 2024, l’Institut national supérieur du cinéma, baptisé "Mohamed Lakhdar Hamina", propose des formations supérieures suivant le système LMD (licence, master, doctorat), avec une première année en tronc commun, avant l'orientation des étudiants en deuxième année vers les spécialités de l'industrie cinématographique.
  • 17-07-2025
    -Le rideau s’est levé, ce jeudi , à l’opéra Boualem-Bessaih d’Alger dans un tonnerre d’applaudissements, à l’ouverture de la 7e édition du Festival international du rire d’Alger. Un gala d’ouverture haut en couleur qui a donné le ton d’un rendez-vous placé sous le signe de la dérision et de la bonne humeur. En présence du ministre de la Culture, Zouhir Ballalou, et devant une salle archi-comble, l’humoriste Farid Chamekh a assuré la présentation de la soirée avec une énergie contagieuse. Il a présenté et fait défiler sur scène pas moins de 8 comédiens, venus de différents horizons pour offrir au public algérois plus de trois heures de rires aux éclats. Sketchs, improvisations audacieuses et autodérision bien dosée, le gala d’ouverture a tenu toutes ses promesses, entre humour et moments de franche complicité avec le public
  • 08-07-2025
    -L’annonce est officielle : Amel Bent, la célèbre chanteuse, a finalement obtenu ses papiers algériens. Né à Paris d’un père algérien et d’une mère marocaine, l’artiste derrière le succès de « Ma philosophie« , a exprimé son immense fierté d’avoir désormais « deux maisons« , marquant ainsi son lien renforcé avec ses racines. La maman d’Hana, Sofia et Zayn a grandi à La Courneuve, en Seine-Saint-Denis, sans son père. Il lui a fallu attendre 40 ans et l’aide du consulat pour faire une demande si importante, qui lui permet de faire la paix avec une partie de son passé. Amel Bent a officialisé l’obtention de sa nationalité algérienne lors d’une apparition au consulat d’Algérie à Nanterre, comme elle l’avait révélé dans une vidéo partagée sur le réseau social TikTok. Elle a clairement indiqué qu’elle n’avait pas la nationalité algérienne auparavant. Amel Bent a expliqué avec émotion qu’elle a officiellement obtenu la nationalité algérienne, il y a quelques mois, un statut qu’elle ne possédait pas auparavant. Elle a souligné sa profonde fierté, précisant que même si les papiers ne sont pas l’unique source d’amour et de fierté, elle est heureuse de les avoir désormais. Par ailleurs, la chanteuse a chaleureusement remercié « monsieur le consul » pour sa précieuse aide dans cette démarche. Grâce à lui, elle peut maintenant affirmer avoir « deux maisons » et se sentir « chez elle en Algérie« . Elle a conclu son discours, notamment en exprimant son sentiment d’appartenance à cette communauté « et ce soir, je me sens chez moi entre Algériens, entre Algériennes«
  • 04-07-2025
    -Un spectacle de musique, célébrant les 50 ans de Alhane Wa Chabab , émission phare de la télévision algérienne dédiée à la découverte de jeunes talents de la chanson, a été animé ce vendredi soir par d’anciens et jeunes élèves de ce télécrochet. En présence du ministre de la Communication, Mohamed Meziane, le spectacle, organisé à lopéra d’Alger à l’occasion de la célébration du 63e anniversaire de l’indépendance et de la jeunesse, a ravivé les souvenirs des fans, venus retrouver des talents révélés par ce concours musical télévisé dans les années 70-80. Dans une ambiance festive, le public a retrouvé avec émotion d’anciens candidats à Alhane Wa Chabab , lancé en 1975, devenus célèbres à l’image de Hassiba Amrouche, Nadia Benyoucef, Cheb Mami ou encore Nerdjes. Emus, les artistes ont exprimé leur « gratitude et reconnaissance » à cette émission de la télévision algérienne qui, disent-ils, « a grandement contribué à leur succès ». Egalement révélés par Alhane Wa Chabab , de jeunes participants qui se sont fait connaître par leur participation à ce télécrochet, dont Djamila Mansouri, Numidia Lezoul, Kenza Morsli, Nabila Dali et Foaud Ouamane, à leur tour, ont été à nouveau sur scène pour reprendre des chansons qui ont fait leur succès à travers cette émission. En clôture de la soirée, cheb Mami a chanté Bladi Hiya Djazair », chanson qui célèbre l’amour et l’attachement à la patrie.
  • 02-07-2025
    -Le Nissab de la Zakat a été fixé à 1.615.000 DA, a annoncé mercredi le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs, qui a rappelé les comptes CCP de wilaya, relevant de l'Office national des Wakfs et de la Zakat et les caisses de la Zakat au niveau des mosquées mis à la disposition des citoyens pour assurer la collecte et la distribution de la Zakat aux bénéficiaires. "A l'occasion de l'avènement de l'année 1447 de l'hégire, le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs annonce que le Nissab de la Zakat pour l'année 1446 de l'Hégire a été fixé à 1.615.000 DA, calculé sur la base de 20 dinars or dont le poids a été estimé à 85 grammes", a précisé le ministère dans un communiqué. "La Zakat correspond au quart du dixième, soit 2,5% de toute valeur d'argent, d'offres commerciales et de marchandises évalués au prix de vente le jour de la Zakat ayant atteint le Nissab au terme d'une année", a ajouté la même source. Le ministère des Affaires religieuses met à la disposition des citoyens les comptes CCP de wilaya de l'Office national des Wakfs et de la Zakat, pour s'en acquitter directement de la Zakat ou à travers les caisses de la Zakat au niveau des mosquées sur le territoire national pour assurer sa collecte et sa distribution aux bénéficiaires......................... - Le Prix Vittorio Boarini 2025, du nom du fondateur de la Cinémathèque de la ville italienne de Bologne, a été décerné à l'ancien directeur de la Cinémathèque algérienne, Boudjemâa Karèche, pour son "apport important à la protection et diffusion du patrimoine cinématographique", ont indiqué les organisateurs. Décerné à l'occasion de la 39ème édition du Festival "Il cinema ritrovato" (21- 29 juin), dédié aux chefs d'œuvres du cinéma et aux classiques intemporels, le Prix Vittorio Boarini 2025 a été décerné à l'ancien directeur de la Cinémathèque algérienne (1978 à 2003) Boudjemaa Karèche. Animateur, dés 1971, de la Cinémathèque algérienne, Boudjemaâ Karèche a contribué à faire de la cinémathèque un "lieu de référence du cinéma dans son pays et une scène reconnue et appréciée dans le monde du cinéma international", ont souligné les organisateurs. Auteur d'ouvrages sur le cinéma, il a publié en 2005 "Un jour, un film", un recueil d'anciens articles parus dans la presse nationale, "Juste un mot" (2009) et "L'héritage du charbonnier", récit sur la vie et œuvre du cinéaste algérien Mohame d Bouamari (1941- 2006). Créé en 2022 en hommage au fondateur de la Cinémathèque de Bologne, le Prix Vittorio Boarini est une récompense décernée chaque année lors du Festival "Il Cinema Ritrovato" à des personnalités qui se sont distinguées dans la protection et la diffusion du patrimoine cinématographique à travers le monde.
  • 01-07-2025
    -Le ministre de la Culture et des Arts, Zouhir Ballalou, a procédé, ce mardi au Palais de la culture Moufdi Zakaria à la présentation des résultats de l'étude stratégique pour la relance de l'industrie cinématographique nationale. L'étude propose 20 mesures concrètes couvrant les domaines de la gouvernance, de la formation, du financement, de la distribution, de la production, de l’intelligence artificielle, des festivals en Algérie et à l’étranger, des banques, de la coproduction internationale, de l’investissement privé, entre autres. Lancée par le ministère en 2025, cette étude constitue une avancée qualitative adoptant une approche globale, intersectorielle et orientée vers l’action, dans le but d’identifier des leviers efficaces pour un essor durable du cinéma algérien à court et moyen termes. Des échanges constructifs ont permis aux participants de partager leurs visions et ambitions. Le sérieux et le réalisme de cette étude a été unanimement saluée, la considérant comme une étape cruciale vers la construction d’une industrie cinématographique algérienne forte et compétitive. La séance s’est conclue sur la promesse de prendre en considération toutes les propositions, de les présenter à nouveau sous forme de programme et de calendrier de travail, et de les partager avec les différents secteurs et acteurs concernés par l’industrie cinématographique. Le comité ayant élaboré l’étude durant la période d’avril à juin dernier, est composé de quatre experts, en l’occurrence Mohamed Tayeb Laggoune et Farid Merabet (Algérie), Olivier Zegna Rata (France) et Giacomo Mazzone (Italie).