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Communication ( et Presse)

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  • 31-05-2025
    -L’AUTORITÉ NATIONALE INDÉPENDANTE DE RÉGULATION DE L’AUDIOVISUEL (ANIRA) A MIS EN GARDE, dans un communiqué, contre la prolifération de pratiques médiatiques nonprofessionnelles dans certaines chaînes de télévision, lesquelles portent atteinte à la conscience citoyenne et sapent profondément les efforts nationaux déployés pour lutter contre le charlatanisme et la sorcellerie.L’Autorité a affirmé qu’elle «suit avec la plus vive préoccupation et un profond mécontentement la prolifération de certaines pratiques médiatiques non professionnelles qui affectent la conscience des citoyens et sapent particulièrement les efforts nationaux visant à lutter contre le charlatanisme, la sorcellerie et la promotion de la superstition». Il a été «constaté avec le plus grand regret que la chaîne Ennahar TV a diffusé une nouvelle déclaration controversée, dans le cadre de l’émission ‘Paparazzi’, où un artiste réputé prétendait être victime de sorcellerie, faite par ses pairs pour entraver sa carrière artistique», a-t-elle indiqué, considérant cela comme «une exploitation éhontée des émotions des citoyens et un investissement grossier dans la superstition à des fins commerciales». L’Anira a également relevé la diffusion par Echourouk News TV, le 17 mai, d’un épisode de l’émission «Rak fi Tahkik», dont «l’invité, une personne qui manque de connaissances et de discernement, en étant même incapable de réciter correctement les sourates et les versets coraniques, a proféré un discours irresponsable et contraire à la conscience publique, notamment en affirmant que les pays occidentaux doivent leurs progrès à l’exploitation des djinns». A ce sujet l’Anira a prévenu qu’il s’agit là de «propos incongrus contraires à la logique et à la raison, qui font la promotion directe de discours superstitieux incompatibles avec les données scientifiques et les valeurs religieuses, et une violation des exigences du service public». Dans ce sillage, elle a évoqué «une entrevue, diffusée le 27 mai, sur la chaîne El Hayat TV d’une personne faisant la promotion de concepts non prouvés scientifiquement, sans recourir à l’expertise des spécialistes de la médecine ou de la science pour donner un avis savant et éclairé, dans un manquement total au devoir d’objectivité». L’Anira a, par ailleurs, insisté sur le fait que «ces programmes ne constituent pas seulement un mépris de l’intelligence des citoyens, mais tombent également sous le coup de la loi 23-20 encadrant l’activité audiovisuelle, notamment l’article 32 qui stipule l’obligation de se conformer aux règles, à la déontologie et à l’éthique professionnelles, et interdit l’instrumentalisation de la religion à des fins contraires à l’exercice de l’activité audiovisuelle». «…L’Anira condamne fermement ce dérapage professionnel et met en garde toutes les institutions audiovisuelles contre le risque de succomber à de telles dérives dangereuses». A ce titre, l’Autorité a relevé «la gravité particulière des contenus de ces programmes, qui ne se contentent pas de promouvoir le charlatanisme, mais vont jusqu’à semer le doute et les accusations au sein de la famille algérienne, et à élever les générations dans l’angoisse et la superstition, au lieu de développer l’esprit critique, la réflexion rationnelle et la compréhension saine de la religion».
  • 29-05-2025
    -Aps : « Sans donner le moindre signe de ressaisissement qui est pourtant de mise, les officines françaises poursuivent la gestion des relations algéro-françaises par des fuites organisées de manière bien malhabile. Hier, c’était au tour de « l’Express » de faire état d’une décision française qui serait en préparation visant à "geler les avoirs d’officiels algériens en réponse aux refus d’Alger de reprendre ses ressortissants frappés de l’obligation de quitter le territoire français". Il est aussi question, selon cette fuite, de "geler le patrimoine d’officiels algériens en France par une interdiction d’accès à leurs propriétés ou à d’autres biens". La gestion par la France de sa relation avec l’Algérie n’est jamais descendue aussi bas. Elle n’a jamais tutoyé autant d’amateurisme. Elle n’a jamais atteint ces sommets dans le manque de sérieux. Encore une fois, tout cela porte la marque distinctive de responsables français qui n’ont que l’Algérie pour viatique politique. En cette affaire, l’Algérie, son peuple, son Gouvernement et toutes ses institutions confondues leur disent chiche. Passez à l’acte ! Les auteurs véritables de ces menaces, qui ne peuvent provoquer de la part de l’Algérie que du mépris et de l’indifférence, devraient savoir à quoi s’en tenir en l’espèce. Ils ne s’adressent pas à l’Algérie réelle, mais à une Algérie fantasmée. Cette Algérie qu’ils n’arrivent à décrire que par des vocables tels que "régime", "pouvoir", "dignitaires" ou "nomenklatura". Cette Algérie-là n’existe que dans leurs délires et leur déraison. L’Algérie réelle, et non pas l’Algérie qui alimente leurs fantasmes, est tout autre. L’Algérie réelle est celle qui a sollicité l’entraide judiciaire de la France dans le cadre de biens mal acquis, sans l’obtenir. C’est celle qui a saisi la justice française de cinquante et une commissions rogatoires, sans obtenir une seule réponse. C’est celle qui a sollicité l’extradition d’individus convaincus de vols, de dilapidations et de détournements de fonds publics, ainsi que de corruption, sans obtenir satisfaction. Par de tels manquements, les autorités françaises concernées se désignent elles-mêmes comme complices de toutes ces pratiques et comportements hors la loi. S’il s’agit de nettoyer les écuries d’Augias que la France commence par celles-ci. Elle y gagnerait en crédibilité et en sérieux. Car, pour l’heure, c’est ce dont elle a le plus besoin ».
  • 18-05-2025
    -Le ministère de la Communication a "formellement" démenti les informations "fallacieuses et tendancieuses" attribuées injustement au ministre, Mohamed Meziane, par le correspondant d'un média étranger et se réserve le droit de recourir à la Justice, conformément à la législation en vigueur, indique dimanche un communiqué du ministère dont voici le texte intégral : "Faisant suite aux informations fallacieuses et tendancieuses, délibérément diffusées sur les réseaux sociaux, en date du 16 mai 2025, par Harzellah Ahmed, et attribuées injustement au ministre de la Communication, Mr. Meziane Mohamed, le ministère de la Communication tient à démentir formellement ces propos mensongers et insidieux. Monsieur le Ministre a effectivement rencontré le concerné, lors d'une cérémonie de remise des accréditations au profit des correspondants de la presse étrangère, en date du 9 avril dernier, au cours de laquelle il a eu un court échange avec cette personne qui travaille en qualité de correspondant d'un média étranger. Lors de ce très bref échange, Harzellah Ahmed s’est plaint d'être sous l'effet d'une Interdiction de sortie du territoire national (ISTN). Ce à quoi Monsieur le Ministre lui a fait remarquer que ce n'était ni le lieu ni le moment pour évoquer ce genre de propos, tout en lui indiquant qu'il n'avait pas à s'inquiéter. En réponse à ces propos fallacieux et à ces allégations délibérément tenues dans l'objectif de nuire, le ministère de la Communication se réserve le droit de recourir à la Justice, conformément à la législation en vigueur".Note : Dans une vidéo publiée le 16 mai dernier, Ahmed Harzellah a affirmé avoir été frappé d’une interdiction de sortie du territoire national (ISTN), bien qu’il ait quitté l’Algérie avec un passeport étranger, rapportant une conversation où le ministre Mohamed Meziane aurait plaisanté sur le nombre d’Algériens interdits de voyager : « J’ai rencontré le ministre de la Communication. Il m’a dit, je ne sais pas s’il plaisantait, ne vous inquiétez pas, plus de 40% des Algériens sont interdits de voyager" .
  • 08-05-2025
    -L'Autorité nationale indépendante de régulation de l'audiovisuel (ANIRA) a annoncé, jeudi dans un communiqué, avoir réussi à résoudre le différend entre la Société de gestion des services et infrastructures aéroportuaires d'Alger (SGSIA) et la chaine électronique "Dzaïr Tube TV", en parvenant à un règlement à l'amiable entre les deux parties. "Dans le cadre des principales missions qui lui sont dévolues notamment en matière d'arbitrage des litiges relatifs aux contenus audiovisuels à travers un mécanisme de médiation, conformément à l'article 41 de la loi 23-20 relative à l'activité audiovisuelle, l'ANIRA a lancé, au cours des derniers jours, une procédure de conciliation entre la SGSIA et Dzaïr Tube TV à la suite du différend qui les opposait et des plaintes échangées", précise le communiqué. "Grâce à l'engagement des deux parties au dialogue, l'ANIRA a réussi à contenir le différend et à parvenir à un règlement à l'amiable qui satisfait les deux parties, lesquelles ont exprimé leur engagement à retirer les plaintes déposées devant la justice, partant de leur conviction commune quant à l'importance du traitement institutionnel des litiges, loin de toute escalade", a ajouté la même source. A cette occasion, l'Autorité a réaffirmé "son rôle de garant du respect des règles et de l'éthique de la profession", et a insisté sur la nécessité de "renforcer les mécanismes de vérification des informations avant leur diffusion". Elle a également appelé toutes les institutions à "ouvrir des canaux de communication institutionnels avec les médias et à faciliter leurs missions dans le respect des règles professionnelles, en évitant toute pression ou interdiction non justifiée à l'encontre des représentants des établissements audiovisuels agréés, et ce au servir d'un paysage médiatique sain et responsable". L'ANIRA s'est félicitée de "cette évolution positive", en réaffirmant "son engagement ferme à l'ancrage de la culture de médiation dans le règlement des litiges du secteur des médias audiovisuels, tout en s'engageant constamment à accompagner tous les acteurs pour renforcer la culture de dialogue et le respect mutuel au service de la liberté de la presse et pour préserver les droits".
  • 03-05-2025
    -L’Algérie enregistre une remarquable progression dans le dernier classement mondial de la liberté de la presse publié par Reporters sans frontières (RSF) pour l’année 2025. Le pays grimpe de 13 rangs par rapport à l’année précédente (classée 126è /sur 180 en 2025......139ème en 2024) . Cette évolution positive contraste avec la tendance observée dans plusieurs grandes démocraties, telles que les Etats-Unis qui perdent deux places ou encore de la France qui recule de quatre places. Au niveau maghrébin, la Libye progresse de six positions, tandis que la Tunisie et la Mauritanie enregistrent respectivement un recul de 11 et 17 places. En tête du classement, la Norvège conserve sa première place. À l’inverse, l’Érythrée ferme la marche pour la deuxième année consécutive. Le rapport de RSF évalue les conditions d’exercice du journalisme dans 180 pays. ................... -Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a présidé, ce samedi à Alger, une cérémonie organisée sous le haut patronage du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, en l'honneur des journalistes algériens à l'occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, célébrée le 3 mai. Organisée par le ministère de la Communication, la cérémonie s'est déroulée en présence de membres du Gouvernement, des responsables d'établissements médiatiques et de journalistes de différents médias...................... - Le ministre de la Communication, Mohamed Meziane, a réaffirmé, ce samedi à Alger, l'intérêt majeur qu'accorde le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, à la presse nationale et aux métiers de l'information et de la communication. Dans une allocution prononcée lors d'une cérémonie organisée à l'occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, présidée par le Premier ministre, Nadir Larbaoui, le ministre de la Communication a rappelé "l'intérêt majeur qu'accorde le président de la République à la presse nationale et aux métiers de l'information et de la communication" comme en témoigne, a-t-il dit, "la consécration de la tradition des entrevues périodiques accordées aux médias pour éclairer l'opinion publique". "Les hautes autorités du pays ont placé parmi leurs priorités la promotion de l'environnement médiatique pour une presse libre, responsable, plurielle, indépendante et respectueuse des règles de professionnalisme et de l'éthique et de la déontologie de la profession, au service d'une pratique démocratique à l'abri de toute forme de dérive", a ajouté M. Meziane. Organisée par le ministère de la Communication, cette cérémonie s'est déroulée en présence de membres du Gouvernement, de responsables de médias et de journalistes.
  • 02-05-2025
    -Alors que Donald Trump dit "étudier de près" une action en justice contre le New York Times, Reporters sans frontières (RSF) estime que le retour au pouvoir du républicain a entraîné une "dégradation inquiétante de la liberté de la presse aux Etats-Unis". Le pays perd deux places, se retrouvant en 57e position sur 180, dans le classement annuel par pays publié vendredi 2 mai par RSF. "La situation n'était déjà pas reluisante" aux Etats-Unis, rétrogradés de dix places en 2024, concède la directrice éditoriale de RSF, Anne Bocandé. Mais elle s'est encore aggravée depuis l'investiture en janvier du président américain, auteur d'"attaques quotidiennes" contre la presse. "Son administration a politisé les institutions, réduit le soutien aux médias indépendants et marginalisé les journalistes", soumis à une "hostilité croissante", tandis que la "confiance dans les médias s'effondre", résume l'ONG. La France perd quatre places par rapport à 2024 et se situe 25e dans un classement dominé par la Norvège, l'Estonie et les Pays-Bas. Plus généralement, l'économie du secteur est "mise à mal" par les Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft), dont les plateformes, "largement non régulées, captent une part croissante des revenus publicitaires" et participent à "la prolifération de contenus manipulés ou trompeurs".La liberté d'informer est aussi "de plus en plus entravée par des conditions de financement opaques ou arbitraires", pointe RSF. Ainsi, en France, une "part significative de la presse nationale est contrôlée par quelques grandes fortunes", relève l'ONG, s'interrogeant sur "l'indépendance réelle des rédactions". "Il y a dix grandes fortunes", dont celle de Vincent Bolloré, "qui se partagent une vingtaine de titres de presse et ça représente 80% à peu près de la diffusion des quotidiens et 95% des hebdomadaires nationaux généralistes", illustre Thibaud Brutin, secrétaire général de RSF, sur France Inter.......................................... -L'Autorité nationale indépendante de régulation de l'audiovisuel (ANIRA) a décidé, ce vendredi, la suspension totale de la diffusion de la chaîne Echorouk News TV pour une durée de 10 jours, en raison de la publication sur sa page Facebook d'un terme à caractère raciste extrêmement grave, indique, vendredi, un communiqué de l'Autorité. "L'Autorité a relevé l'usage d'un terme à caractère raciste extrêmement grave diffusé le 1 mai 2025 sur la page Facebook officiel de la chaîne Echorouk News TV, à la suite des descentes menées par les services de la Sûreté de wilaya d'Alger dans divers quartiers de la capitale, dans le cadre de la lutte contre le crime organisé, lors desquelles ont été interpellés des migrants en situation irrégulière, originaires de pays africains, présents sur des lieux d'intervention policière", précise le communiqué. Le reportage en question contenait "un terme à caractère raciste et discriminatoire, attentatoire à la dignité humaine, véhiculant un discours de haine et d'incitation contre une catégorie de personnes en raison de leur race, leur couleur de peau ou leur appartenance géographique", constituant ainsi une violation manifeste des dispositions de la loi organique 23-14 relative à l'information, de la loi 23-23 encadrant l'activité audiovisuelle, ainsi que du décret exécutif 24-250 fixant le cahier des charges général applicable aux services de communication audiovisuelle. Le contenu et le titre de la publication enfreignent également les dispositions de la loi 20-05 de 2020 relative à la lutte contre les discours de haine, laquelle criminalise toute forme d'incitation au racisme ou à la haine et habilite les autorités compétentes à engager des poursuites à l'encontre des contrevenants, selon le communiqué. Ainsi, l'ANIRA constate ce "dérapage" malgré les mises en garde précédentes quant aux dangers liés à l'adoption d'un discours de haine et de racisme, et en dépit des sanctions déjà infligées à l'encontre de plusieurs chaînes audiovisuelles pour des infractions similaires. "Elle continue, toutefois, d'observer de tels dérapages professionnels injustifiés et contraires à l'éthique, à l'encontre de nos frères africains avec lesquels nous partageons une histoire et un destin communs". L'Autorité indique avoir auditionné les représentants de la chaîne Echorouk News TV après les avoir confrontés aux infractions enregistrées, et relève "un manquement grave à l'éthique professionnelle et un manque de responsabilité dans le traitement d'un sujet sensible qui exigeait rigueur et professionnalisme, afin de préserver les valeurs de tolérance et de respect dans l'espace médiatique national", selon la même source. En conséquence, l'Autorité a décidé "la suspension totale de la diffusion de la chaîne Echorouk News TV pour une durée de dix (10) jours à compter de minuit (00h00) à la date de publication du présent communiqué". Elle enjoint également aux responsables de la chaîne de "présenter des excuses officielles et explicites, accompagnées d'une dénonciation du contenu du reportage en question". Après avoir rappelé les "liens historiques profonds" unissant l'Algérie aux peuples africains, de la lutte commune contre le colonialisme, aux défis de développement et de sécurité, l'ANIRA a affirmé que "tout discours à connotation raciste s'inscrit en porte à faux avec les principes de l'Algérie", renouvelant son appel à l'ensemble des médias audiovisuels à "se conformer strictement aux lois de la République et à respecter les règles de professionnalisme et d'éthique, afin de refléter l'image d'un média national responsable", conclut le communiqué.