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Culture (et Religion)

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  • 25-02-2022
    -La violoniste interprète de musique andalouse, Nassima Haffaf, a été consacrée, vendredi soir à Alger, "grande lauréate " de la 3e édition du Prix "Cheikh Abdelkrim-Dali", qui a mis en compétition sept finalistes. Lors de la cérémonie de clôture organisée à l’Opéra d’Alger Boualem-Bessaïh, le jury, présidé par le chercheur musicologue et interprète de la chanson andalouse, Noureddine Saoudi, a décerné le 1er Prix de ce concours biennal à Nassima Haffaf pour son interprétation de "noubet Leghrib", dans ses différentes déclinaisons mélodiques et rythmiques.
  • 23-02-2022
    -Construite à Alger entre 1858 et 1872, la basilique Notre-Dame d’Afrique, dont le nom a été choisi par Mgr Lavigerie en rapport avec l’existence d’un sanctuaire dédié à Sainte Marie d’Afrique dans la ville espagnole de Ceuta, a célébré, ce mercredi , ses 150 ans. Pour la circonstance, les fidèles de cette cathédrale ont rappelé comment Notre-Dame d’Afrique a marqué une partie de l’histoire du continent africain et de ses églises notamment, notent-ils, “par le fait que la société des missionnaires d’Afrique (dits pères blancs) a envoyé ses membres depuis cet endroit vers différents pays du continent”, soulignant qu’elle constitue toujours “un lieu de coexistence pacifique et de présence d’une église vivante et rayonnante”.
  • 22-02-2022
    -Les opérations de restauration, en cours sur sept projets de réhabilitation de palais, monuments et bâtisses historiques du secteur sauvegardé de la Casbah d'Alger enregistrent un taux d'avancement global de 65%, a-t-on appris auprès de la Direction des équipements publics (DEP) de la Wilaya d'Alger, en charge du dossier Casbah. Dans un entretien à l'APS, l'architecte Fatma Larbi, responsable au niveau de la DEP, a indiqué que les projets en cours concernent les sites du Palais du dey, le Palais des beys et la poudrière, tous trois situés dans la citadelle d'Alger, en plus du palais Hassan Pacha jouxtant la mosquée Ketchaoua, la mosquée El Berrani et deux douiret mitoyennes et des bâtisses historiques au 7, rue des frères Slimani. La DEP a également initié des interventions d'urgence afin de stopper la dégradation et éviter le risque d'effondrement de certaines bâtisses. Fatma Larbi a précisé que les taux d'avancement enregistré dans citadelle d'Alger, déjà partiellement ouverte aux visiteurs, étaient de 65% au Palais du dey, 47% au Palais des beys et de 98% au niveau de la poudrière qui devrait être prête dans les prochains jours. L'avancement des travaux est de l'ordre de 50% dans la mosquée El Berrani et les deux bâtisses mitoyennes, de 65% dans le palais Hassan Pacha, 75% dans les maisons historiques de la rue des frères Slimani, et de 30% pour les travaux d'urgence entamés dans 22 douiret et demeures de l'époque coloniale. Selon l'architecte des projets ont également été finalisés à 100 % à savoir, la mosquée du dey dans la citadelle et la maison historique de la famille Bouhired et trois bâtisses mitoyennes en plus de travaux de canalisation et de câblage électrique souterrain. Elle précise, par ailleurs, que l'enveloppe financière globale pour la réalisation des opérations de restauration attribuées à la DEP, et qui couvre 11 projets dans un premier temps, et 33 autres comme seconde phase, s'élève à 23 milliard de dinars. == les études de 33 bâtisses historiques et cultuelles en cours de finalisation== Sur le plan des études préalables, l'architecte Fatma Larbi a indiqué que les dossier de la seconde phase de restauration, qui compte 25 projets enregistre un avancement de 88% réparti sur 33 bâtisses historiques et cultuelles dans le secteur sauvegardé de la Casbah d'Alger, dont les avis d'appel d'offre et cahiers des charges seront bientôt finalisés.Elle précise que cinq mosquées sont concernées par ce programme, Djamaâ Essafir, Djamaâ Sidi Abdellah, Djamaâ Sidi Ben Ali, Djamaâ Fares et Djamaâ Sidi Mhamed Cherif en plus de sept bâtisses connues à l'image de Dar Essouf, Dar Essadaqa, le palais Dar Khedaoudj, Hammam Sidna, le Palais Ahmed Pacha ou encore Dar El Hamra. .............................................................. --Paru le 20 février dernier, dans sa première édition, le quotidien (de statut privé et en langue arabe) Errahen tend à diffuser et à traiter les rendez-vous culturels, l’actualité des artistes et leurs œuvres, la vie des musées et autres institutions culturelles à l’intention des initiés et du large public. «Les informations relatives aux arts et à la culture passent inaperçues dans les médias. Les couvertures faites n’axent pas sur l’événement lui-même par exemple une exposition, un vernissage, une pièce de théâtre ou un film. Les projecteurs sont braqués sur un personnage public ou un responsable officiel tout en omettant l’occasion ou la thématique de la rencontre », a fait savoir notre interlocuteur. Selon Fenni, Errahen vise à proposer une réponse et combler ce manque de médiatisation des événements et activités du secteur. « Il est temps de renverser la vapeur. La culture se dévoile sous plusieurs aspects et les disciplines artistiques sont nombreuses, par conséquent consacrer un titre de la presse au domaine est anodin », a-t-il noté.
  • 20-02-2022
    -Le cinéaste Djamel Bendeddouche, réalisateur du film "Arezki, l'insoumis", est décédé dans la nuit de samedi à dimanche, à Alger, à l'âge de 80 ans, selon ses proches. Il convient de savoir que feu Djamel Bendeddouche a débuté sa carrière dans le théâtre radiophonique avant de rejoindre le télévision nationale au lendemain du recouvrement de l'indépendance. Il a réalisé de nombreux documentaires et courts métrage pour le compte de la télévision publique, dont" Le conflit", Laboratoire" et "L'oiseau blanc" avant de rejoindre l'entreprise nationale de production audiovisuelle (Enpa) où il produit de nombreuses oeuvres pédagogiques. Djamel Bendeddouche, qui avait poussé sa formation en France et mettait un point d'honneur à former les nouvelles générations, avait fondé une entreprise de production audiovisuelle et avait signé son œuvre majeure "Arezki l'indigène" en 2007………………………………………………. -Le groupe de travail sur la politique culturelle en Algérie (GTPCA) annonce le lancement, ce dimanche 20 février, de Raqes, une plateforme numérique dédiée au métier de la danse contemporaine. « Après l’expérience de la carte culturelle de l’Algérie en 2018, le GTPCA lance sur le site internet, un espace virtuel qui met en épigraphe les pratiquants de cette discipline artistique et répertorie ses espaces de formation. Raqes, qui signifie « danse » en Arabe, est une plateforme virtuelle dédiée entièrement à l’expression de la danse contemporaine. Raqes, est une initiative de conseil, de coaching et de casting dédiée aux projets artistiques et à la découverte de nouveaux talents. », est-il précisé dans un communiqué. « Raqes est créée dans l’objectif de mettre sous le projecteur les danseurs et chorégraphes algériens et de les promouvoir sur le continent Africain et le Moyen Orient », est-il souligné sur le site, édité en français. Il est question de proposer des danseurs et chorégraphes pour le cinéma, la télévision, la publicité, le clip vidéo, la radio et le spectacle vivant. Sur le site, une liste d’une cinquantaine de danseurs et danseuses est publiée avec photos et éléments biographiques. Il s’agit, entre autres, de Myassa Achouri, Melissa Benabdelaziz, Maya Bachi, Bouchra Harroum, Yasmine Bourouila, Katia Hadj Messaoud, Abdelnour Guendouz, Belmehel Nasrellah, Sofiane Drici, Younes Chayani, Meziane Tireche et Yacine Kouarr. Des danseuses et des danseuses qui font dans le classique, le moderne, le contemporain, le populaire et le hip hop. Le site contient aussi une liste de huit chorégraphes dont Nouara Idami, Sliman Habes, Samar Bendaoued, Khadidja Guemiri et Riadh Beroual. Raqes.net répertorie aussi toutes les écoles de formation à la danse en Algérie. Formé en 2012, le Groupe de Travail sur la Politique Culturelle en Algérie est un collectif indépendant qui vise à renforcer le secteur de la culture. Il déjà organisé des ateliers de formation consacrés au management des projets culturels.
  • 17-02-2022
    -Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Youcef Belmahdi a supervisé la 17e édition du Prix international d’Alger de récitation du Coran qui se déroule à Dar El-Iamam à El-Mohamadia (Alger) avec la participation de 48 pays représentant de pays arabo-musulmans, .On a noté la participation de nouveaux pays directement après l’ouverture du concours. Il s’agit des Emirats arabes unis (EAU) et de l’Indonésie . Le ministre a annoncé que l’institut d’Aïn Beïdha (Laghouat) inauguré l’année dernière accueillera bientôt un groupe d’étudiants africains qui bénéficieront d’une formation globale dans les sciences du Coran, au moment où plus de 400 étudiants de différentes nationalités africaines sont formés au niveau des différentes zaouias et écoles coraniques réparties, à travers l’ensemble du territoire national ». Concernant le dossier de la Omra (pèlerinage), M. Belmahdi en marge de l’ouverture de cette manifestation, que « dès la réunion des conditions adéquates à cet égard au vu de la situation sanitaire due à la COVID-19, des décisions importantes seront annoncées à ce sujet », ajoutant que « l’Office national du hadj et de la Omra et les agences de voyage sont disposés pour toute décision dans ce sens qui sera soulevée et examinée par le gouvernement ». Le Prix international d’Alger de récitation du Coran est ouvert cette année aux récitants du Coran âgés de moins de 25 ans n’ayant pas remporté l’un des trois premiers prix lors des précédentes éditions
  • 15-02-2022
    -Après deux années d'absence en raison de la pandémie du coronavirus, le Salon international du livre d'Alger (SILA) se tiendra cette année dans sa 25ème édition, du 24 au 31 mars 2022 au Palais des expositions des Pins maritimes d'Alger avec l'Italie comme invité d'honneur. Mais l'autre bonne nouvelle est venue du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qui a décidé de la gratuité de l'accès aux stands pour les maisons d'édition participant au prochain SILA. «Une décision qui donnera incontestablement lieu à une participation record des éditeurs avec des retombées sur la promotion du livre lors du Salon », a indiqué, sur les ondes de la Radio nationale, Mohamed Iguerb, commissaire du SILA-2022. « C'est un très joli cadeau de la part du président et un message fort et clair de soutien aux éditeurs », a encore commenté Mohamed Iguerb qui a annoncé « une participation sans précédent dépassant les 1.200 éditeurs», selon lui. « C'est le plus grand événement national, tous secteurs confondus », a tenu à souligner le commissaire du SILA, ajoutant que « les chiffres sont là pour le confirmer, c'est le plus grand Salon du livre du monde arabe, d'Afrique et de la Méditerranée », a-t-il affirmé.
  • 14-02-2022
    -Le long métrage de fiction "La vie d'après" de Anis Djaad et le documentaire "Ne nous racontez plus d'histoire!" coréalisé par Ferhat Mouhali et Carole Filiu Mouhali ont obtenu ce lundi, le Prix "Bouamari-Vautier", lors d'une cérémonie organisée à l'Institut du monde Arabe à Paris, annoncent les organisateurs. Lors de la cinquième édition de ce prix, une dizaine de films algériens sont entrés en lice pour le Prix Bouamari-Vautier récompensant une première fiction ou un premier documentaire réalisé par de jeunes cinéastes algériens et franco-algériens. Les cinéastes algériens Farid Bentoumi, Tahar Boukella et Nadir Moknèche ainsi que le réalisateur Alexandre Arcady ou encore l'universitaire Denise Brahimi ont fait partie du jury de ce prix présidé par la réalisatrice Dominique Cabrera. Ce prix, organisé par l'association "France-Algérie", porte le nom de deux prestigieuses personnalités qui ont marqué le cinéma algérien, Mohamed Bouamari (1941-2006), acteur et réalisateur ayant signé des films comme "Le charbonnier", "A l'ombre des remparts" ou encore "Nuit", et René Vautier (1928-2015), cinéaste français et militant anticolonialiste engagé pour la cause algérienne à travers ses films comme "Afrique 50", premier film anticolonialiste français diffusé clandestinement, "Une nation l'Algérie", "Un peuple en marche", ou encore "Avoir vingt ans dans les Aurès". Fondée en 1963 à l'initiative de l'ethnologue Germaine Tillion avec de nombreuses personnalités, journalistes et hommes de lettre, l'association France-Algérie (présidée par Arnaud Montebourg) œuvre à renforcer la connaissance réciproque des sociétés civiles française et algérienne à travers de nombreux projets dans différents domaines.
  • 13-02-2022
    -Les salles de cinéma de l'établissement Arts et culture de la wilaya d'Alger, donnent rendez-vous aux cinéphiles à partir du 14 février pour renouer avec les productions hollywoodiennes les plus récentes après trois semaines de fermeture pour cause de hausse sensible du nombre d'infection au coronavirus, indique un communiqué de l'établissement. En collaboration avec le distributeur "MD Ciné", les salles Ibn Khaldoun et Sahel proposent des films comme "Moon Fall", "Spiderman: No Way Home", "Scream" ou encore "Marry Me" à raison de trois séances quotidiennes. L'Etablissement Arts et culture précise cependant que l'accès aux salles de projection est tributaire de la présentation du certificat de vaccination tout en rappelant l'obligation de respecter les mesures de préventions à l'intérieur des salles.
  • 12-02-2022
    - Cérémonie d’intronisation de l’Archevêque d’Alger (Cathédrale du Sacré Cœur d’Alger ) Jean Paul Vesco
  • 11-02-2022
    -Quelque 29 films de 25 pays entrent en lice au concours international du meilleur court-métrage à la 2e édition du Festival international d'Imedghassen à Batna, dont les activités se dérouleront du 1 au 5 mars prochain, selon les organisateurs. Des films de pays comme la Turquie, l'Ouganda, la Palestine, le Brésil, l'Australie, l'Ukraine, le Canada, en plus de l'Algérie, entrent en compétition en vue d'obtenir, entre autres, les prix de " meilleur court-métrage", " meilleure réalisation", "meilleur scénario", " et "meilleur montage". Le festival porte le nom du roi numide " Imedghassen" pour lequel un mausolée a été construit sur la terre de la wilaya au IIIe siècle av. J.-C. L'organisation UNESCO l'a classé au patrimoine mondial protégé, en 2002, et a été classé en Algérie comme patrimoine national conservé en 1967. Pour rappel, la 1e édition du festival en 2021 avait connu la distinction, comme meilleur film court-métrage, de l’œuvre palestino-allemande ‘‘Maradona’s legs’’ du réalisateur Firas Khoury.
  • 03-02-2022
    -Décret exécutif n° 22-57 du Aouel Rajab 1443 correspondant au 2 février 2022 portant abrogation du décret exécutif n° 22-49 du 16 Joumada Ethania 1443 correspondant au 19 janvier 2022 portant déclassement d'une parcelle de la forêt domaniale parc zoologique et des loisirs d'Alger, commune de Hydra, wilaya d'Alger, du régime forestier national, destinée à la réalisation d'une cité du cinéma.